Peut-être qu'a contrario de certaines personnes ici, je ne crois pas à la maturation musicale en tant que telle, je pense sincèrement que la sensibilité musicale est en perpétuelle évolution, en tout cas la mienne et qu'elle est dirigé par une sensibilité plus globale et les effets de l'environnement extérieur. Je ne pourrais pas parler de premières émotions musicales car elles ne m'ont pas profondément modifié par contre, je parle régulièrement d'émotions musicales liées à un genre qui à une certaine période de ma vie m'a fait vibrer.
Tout à commencer en écoutant du rap francophone avec MC Solaar les albums «Cinquième As» et «Paradisiaque» et IAM avec «L'école du micro d'argent» pendant une période et puis la découverte de la scène rock avec Nirvana «MTV Unplugged in New York» et les Guns'n'Roses «Use your illusion I» et surtout le titre «Don't Cry» qui m'a porté vers The Rolling Stones «Angie» et Eric Clapton «Tears in Heaven» qui fut ma porte d'entrée dans la musique blues. Maintenant, depuis un an j'ai opéré un retour vers le rap francophone à l'écoute d'artiste comme Scylla, Deen Burbigo et surtout Ahmad avec un intérêt nouveau pour le classique qui est longtemps resté minoritaire dans mon écoute avec comme compositeurs de prédilection Chopin, Dvorak et Tchaïkosvky ainsi que dans le jazz vocal en compagnie de Sophie Milman et Diana Krall.
Bonjour à toutes et à tous, l'équipe de tellement nomade vous souhaite une bonne année 2025
Vos premières émotions musicales
Je ne suis pas ton père non plus !
c'est inversement l'opposé chez moi justement. Comme tout le monde je n'ai pas toujours écouté la même chose selon les époques, en revanche il y'a toujours la même influence qui est là en filigrane. Certaines choses que j'écoute qui ont été composées en 2013 ont un nombre incroyables de points communs avec ce que j'écoutais il y'a 30 ans. Ma sensibilité n'évolue pas, elle me pousse toujours vers les même univers musicaux de façon inconsciente malgré des artistes différents.tinara a écrit :Peut-être qu'a contrario de certaines personnes ici, je ne crois pas à la maturation musicale en tant que telle, je pense sincèrement que la sensibilité musicale est en perpétuelle évolution.
Ma femme me dit parfois...pfffh tu écoutes toujours la même chose...non ce n'est pas toujours la même chose ; c'est toujours la même influence....je dois être un intégriste
Nomade : DAP : Cowon J3 96gb
Casques : Sony Wf 1000XM5 - akg k430 -
Sédentaire : Dacs : Audio-Gd Master 7 Amanero
Amplis : Eddie Current Balancing Act
Casques : Fostex TH900 - Kennerton Odin
Loisirs : Pioneer VSX 831 - système Focal 706 - Gaming PC - VR - Sim Racing
"pour pouvoir mourir il faut déjà avoir vécu" (Wayne Shelton)
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"pour pouvoir mourir il faut déjà avoir vécu" (Wayne Shelton)
Lorsque j'ai vu cette idée de sujet, je me suis longtemps demandé quel était mon premier souvenir musical. J'ai cherché. Et je vois trois éléments qui ont un peu scandé mon enfance...
Mes premiers souvenirs musicaux, d'aussi loin que je me souvienne, tournent autour d'une pièce de Prokoviev narrée et surtout d'une pochette vinyl que voici :
Pierre et le Loup. Le son du basson, le fait que chaque personnage de l'oeuvre soit symbolisé par un instrument spécifique. La tension entre les cordes (pour Pierre) et le son du cor (pour le loup).
Je me souviens aussi de cette fameuse soirée où j'avais vu le clip de "Thriller". Je fus effrayé par les effets spéciaux. J'avais alors 4 ou 5 ans.
La rupture musicale d'avec l'enfance ? Une compilation sur CD de BO qui m'a permis de draguer, peloter et emballer ma petite amie de l'époque.
Puis, ce fut la découverte de nouvelles musiques, de nouvelles perspectives pour repousser toujours un peu plus les limites de mon ignorance. Pourvu que cela dure
H.
Mes premiers souvenirs musicaux, d'aussi loin que je me souvienne, tournent autour d'une pièce de Prokoviev narrée et surtout d'une pochette vinyl que voici :
Pierre et le Loup. Le son du basson, le fait que chaque personnage de l'oeuvre soit symbolisé par un instrument spécifique. La tension entre les cordes (pour Pierre) et le son du cor (pour le loup).
Je me souviens aussi de cette fameuse soirée où j'avais vu le clip de "Thriller". Je fus effrayé par les effets spéciaux. J'avais alors 4 ou 5 ans.
La rupture musicale d'avec l'enfance ? Une compilation sur CD de BO qui m'a permis de draguer, peloter et emballer ma petite amie de l'époque.
Puis, ce fut la découverte de nouvelles musiques, de nouvelles perspectives pour repousser toujours un peu plus les limites de mon ignorance. Pourvu que cela dure
H.
herm2s a écrit :
La rupture musicale d'avec l'enfance ? Une compilation sur CD de BO qui m'a permis de draguer, peloter et emballer ma petite amie de l'époque.
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"pour pouvoir mourir il faut déjà avoir vécu" (Wayne Shelton)
- Banania
- Le fil rouge dans la prise rouge !
- Messages : 60
- Inscription : 02 août 2013 09:54
- Localisation : Metz
Quand j'étais gosse, c'était les années 80. Tout ce qui passait à la radio me laissait de marbre, à part Boney M et the Final Countdown d'Europe (j'avais 7 ans quand c'est sorti) que j'aimais bien, mais rien ne me mettait "la baffe". Heureusement ma mère écoutait pas mal Mike Oldfield et les Shadows, et ça ça me titillait déjà plus.
Et puis la première baffe est arrivée un peu plus tard, vers 12 ans, avec l'album éponyme de Metallica. Et bien que je n'ai jamais écouté de métal avant ça je me suis dit, ça j'écouterai toute ma vie.
Peu après ma deuxième baffe, c'a été le Master of Puppets de Metallica, le deuxième effet Kiss Cool, encore plus puissant que le premier.
Enfin la troisième et dernière vraie baffe, ça a été quelques années plus tard l'album Urban Renewal de Tower of Power. "There is only so much oil in the ground" m'extasie toujours autant après des milliers d'écoutes.
Et puis la première baffe est arrivée un peu plus tard, vers 12 ans, avec l'album éponyme de Metallica. Et bien que je n'ai jamais écouté de métal avant ça je me suis dit, ça j'écouterai toute ma vie.
Peu après ma deuxième baffe, c'a été le Master of Puppets de Metallica, le deuxième effet Kiss Cool, encore plus puissant que le premier.
Enfin la troisième et dernière vraie baffe, ça a été quelques années plus tard l'album Urban Renewal de Tower of Power. "There is only so much oil in the ground" m'extasie toujours autant après des milliers d'écoutes.
Sois heureux un instant, cet instant c'est ta vie.
[Omar Khayyam]
[Omar Khayyam]