AKG K701 / K601 : question de drive...
Publié : 11 avr. 2016 01:16
Salut !
Voilà, je me lance. J'ai lu tellement de choses différentes à propos de ces casques (K701, Q701, K702, K712 etc...) sur des forums anglophones et francophones, que je ne sais plus clairement distinguer ce qui est vrai, de ce qui est peut-être une réalité, et de ce qui est totalement faux.
Et je lis surtout que ces casques sont particulièrement difficiles à driver, malgré leur sensibilité pas si basse que ça, couplée à une impédance anecdotique, et qu'il faut, par conséquent, une très bonne source et un bon ampli pour en tirer pleinement profit.
Et alors là on peut lire de tout. Entre ceux qui ressentent une métamorphose en passant à un ampli adapté, et ceux finissent par dire du bien de ces casques qu'une fois qu'ils leur ont trouvé la paire de coussinets adaptée ou une fois qu'ils ont effectué le bass-mod, bah personnellement je ne sais plus qui écouter. Par rapport au K701 surtout, je vois des gens dire qu'il est très satisfaisant dans le registre grave une fois bien amplifié, et d'autres affirmer au contraire qu'il demeure toujours bass-light, avec un gros manque de présence dans cette zone, mêlé à des timbres chuintards.
Bref, je vous expose mon cas. Je suis actuellement avec mon K612. J'ai auparavant pu écouter un Q701, qui m'a gêné à cause de ses timbres faux dans le haut-medium, et ses basses passées à la trappe. Il est vrai que le K612 est quand même plus garni dans le bas du spectre, mais en terme d'impact, de lourdeur et de présence, cette même carence préside ici encore. Disons qu'il sonne légèrement plus chaud et moins sec, et que le début de son aigu est très reposant, sans chuintements ni sibilances.
Pour ma part, j'en suis tout de même satisfait, je me dis que ce côté bass-light résume, après tout, son caractère, et qu'il s'agit peut-être d'un choix volontaire et assumé de la part des ingénieurs chez AKG. Pourtant, lorsque je le compare à mes autres casques quotidiens, à savoir le Focal Spirit One, l'Ultrasone Pro550, et moins récemment, le AKG K545, je ressens toujours ce manque, cette froideur, ce côté maigre et un peu tombal, comme si les timbres étaient étriqués. Puis surtout, ça va beaucoup moins vite, c'est plus ennuyant avec le K612. Pourtant, en terme de largeur, mais surtout de profondeur de scène, je suis conquis, c'est vaste !
Et ce constat, je peux le dresser une fois encore, depuis, cette fois-ci, la sortie casque de mon Encore mDSD, qui est mentionné capable de driver des casques d'impédance 300Ohms, au maximum. Évidemment, par rapport à mes autres Dac / Ampli peu onéreux, je sens le gain, mais le casque n'est pas transfiguré. Pire encore, mon Ultrasone tire davantage profit du mDSD.
Que se passe-t-il donc ? Faut-il coller un méga ampli à ces AKG pour les driver décemment ? Ou ne s'agit-il, après tout, qu'un refus personnel d'acceptation de leur univers sonore ? Et surtout, une fois bien drivé, on le sent où le gain en premier sur ces casques ?
Voilà, je me lance. J'ai lu tellement de choses différentes à propos de ces casques (K701, Q701, K702, K712 etc...) sur des forums anglophones et francophones, que je ne sais plus clairement distinguer ce qui est vrai, de ce qui est peut-être une réalité, et de ce qui est totalement faux.
Et je lis surtout que ces casques sont particulièrement difficiles à driver, malgré leur sensibilité pas si basse que ça, couplée à une impédance anecdotique, et qu'il faut, par conséquent, une très bonne source et un bon ampli pour en tirer pleinement profit.
Et alors là on peut lire de tout. Entre ceux qui ressentent une métamorphose en passant à un ampli adapté, et ceux finissent par dire du bien de ces casques qu'une fois qu'ils leur ont trouvé la paire de coussinets adaptée ou une fois qu'ils ont effectué le bass-mod, bah personnellement je ne sais plus qui écouter. Par rapport au K701 surtout, je vois des gens dire qu'il est très satisfaisant dans le registre grave une fois bien amplifié, et d'autres affirmer au contraire qu'il demeure toujours bass-light, avec un gros manque de présence dans cette zone, mêlé à des timbres chuintards.
Bref, je vous expose mon cas. Je suis actuellement avec mon K612. J'ai auparavant pu écouter un Q701, qui m'a gêné à cause de ses timbres faux dans le haut-medium, et ses basses passées à la trappe. Il est vrai que le K612 est quand même plus garni dans le bas du spectre, mais en terme d'impact, de lourdeur et de présence, cette même carence préside ici encore. Disons qu'il sonne légèrement plus chaud et moins sec, et que le début de son aigu est très reposant, sans chuintements ni sibilances.
Pour ma part, j'en suis tout de même satisfait, je me dis que ce côté bass-light résume, après tout, son caractère, et qu'il s'agit peut-être d'un choix volontaire et assumé de la part des ingénieurs chez AKG. Pourtant, lorsque je le compare à mes autres casques quotidiens, à savoir le Focal Spirit One, l'Ultrasone Pro550, et moins récemment, le AKG K545, je ressens toujours ce manque, cette froideur, ce côté maigre et un peu tombal, comme si les timbres étaient étriqués. Puis surtout, ça va beaucoup moins vite, c'est plus ennuyant avec le K612. Pourtant, en terme de largeur, mais surtout de profondeur de scène, je suis conquis, c'est vaste !
Et ce constat, je peux le dresser une fois encore, depuis, cette fois-ci, la sortie casque de mon Encore mDSD, qui est mentionné capable de driver des casques d'impédance 300Ohms, au maximum. Évidemment, par rapport à mes autres Dac / Ampli peu onéreux, je sens le gain, mais le casque n'est pas transfiguré. Pire encore, mon Ultrasone tire davantage profit du mDSD.
Que se passe-t-il donc ? Faut-il coller un méga ampli à ces AKG pour les driver décemment ? Ou ne s'agit-il, après tout, qu'un refus personnel d'acceptation de leur univers sonore ? Et surtout, une fois bien drivé, on le sent où le gain en premier sur ces casques ?