Project K Soundwriter

[Jay]

J'ai cru pendant un instant que tu décrivais les UE18. Exactement ce que j'ai ressenti en les écoutant hier

[sausalito]

La danseuse tourne-t-elle sur son côté gauche ou droit ? si vous regardez l'image longuement,vous la verrez d'un moment à l'autre changer de sens.
Pourquoi diable je vous parle d'une illusion d'optique?
Parce que c'est une bonne image de ce qui m'est arrivé avec les Soundwriter.Pendant environ 40h,j'ai été comme hypnotisé par des détails,une fois la définition,une fois la transparence,une fois les timbres etc...et tout à coup,j'ai eu une image globale du rendu sonore...et ce fut magique
quelques comparaisons avec les Flamenco pour Dave et les autres
Les Soundwriter ont une ouverture/Transparence/Clarté phénoménale, et donc une séparation que j'entends pour la première fois aussi évidente . les Soundwriter n'ont ni la résolution des Flamenco,ni le coté organique qui donne cette sensation quasi hallucinatoire de "voir" les chanteurs et de sentir le mouvement d'un archet. La différence est pour une part dans le soundstage des Soundwriter qui est nettement plus vaste quoique à peu près aussi intime (et qui donne une taille plus grande et plus réaliste aux musiciens) et au parti pris de plus de clarté, notamment avec des aigus comparables pour leur extension aux U18t.
Avec les soundwriter le pari est de garder au maximum ce sentiment de présence sans sacrifier à la clarté, d'ou l'expression "fil du rasoir "que j'avais employé. Cela semble possible grâce à une grande extension avec des graves de grande qualité qui peuvent avoir un impact énorme lorsque ils existent dans le morceau, des aigus magiques de finesse (ah les cymbales!) et un petit boost des médiums.Bien que je n'ai jamais ressenti une différence vraiment grande, (mais qui existe bel et bien entre iem et ciem), je pense que la version commerciale des Soundwriter qui sera en ciem doit apporter un petit plus qui les rapprochent des flamenco sur le plan de l'organicité .
En ce qui concerne les médiums des Soundwriter et des Flamenco, je pourrai dire la même chose que Popof94 qui compare les UE18 avec les Flamenco : "Les medium des Flamenco sont un peu plus ternes, plus lourds et moins aérien que sur les UE18."
A suivre...ne vous inquiétez pas, il y a aussi des défauts

[Popof94]

Waowww, si les medium des Soundwriter penchent du côté des UE18, avec le grave les aigus et la scène sonore que tu décris je crois que je vais aller faire des empreintes

[MrLocoLuciano]

He hé hé, je respire

[magicguy]

Waowww, si les medium des Soundwriter penchent du côté des UE18, avec le grave les aigus et la scène sonore que tu décris je crois que je vais aller faire des empreintes

Empreinte de CB ?

[Popof94]

Waowww, si les medium des Soundwriter penchent du côté des UE18, avec le grave les aigus et la scène sonore que tu décris je crois que je vais aller faire des empreintes

Empreinte de CB ?

Bon ce qui m’inquiete c’est que ça fait 1 heure que je fixe la danseuse des yeux mais maintenant elles sont deux à tourner dans le même sens

[sausalito]

[Ringo2014]

...et tout à coup,j'ai eu une image globale du rendu sonore...et ce fut magique.

La danseuse, c'est énorme
Cette sensation du tout globale, mazette ! ça n'arrive que dans les meilleurs setup quand la magie opère. Même avec les meilleurs casques c'est pas évident. Bonne pioche !

Les Soundwriter ont une ouverture/Transparence/Clarté phénoménale, et donc une séparation que j'entends pour la première fois aussi évidente.

Pour moi, le rêve. On se rapproche un peu plus du réalisme.

Avec les soundwriter le pari est de garder au maximum ce sentiment de présence sans sacrifier à la clarté (...). Cela semble possible grace à une grande extension avec des graves de grande qualité qui peuvent avoir un impact énorme lorsque ils existent dans le morceau ,des aigus magiques de finesse (ah les cymbales!) et un petit boost des médiums.

A priori, tout pour reproduire l'impact que procure la musique, jusque dans une symphonie éclatante ou un chœur ! Je serais curieux de savoir comment elles s'en sortent :

- Sur une source plus équilibrée comme le SP1000 ou le Hugo2
- Sur un répertoire plus intimiste comme la performance (précieuse) d'une chanteuse de Jazz, un quintet de Miles Davis ou sur le Blues de John Lee Hooker ou Muddy Waters.

En tout cas, ils sembleraient qu'elles aient vraiment quelque chose à nous mettre sous la dent même si elles n'ont pas la définition des Flamenco.

à suivre...ne vous inquiétez pas,il y a aussi des défauts.

On attend ça avec impatience, encore Bravo

[sausalito]

Merci Ringo.
Un seul détail, c'est bien avec le sp1000 que je les écoute.

[Ringo2014]

Ah bah oui, le retour est différent sur tout la ligne ! Ça rend d'autant grande plus la performance des Soundwriter vu qu'elles ne sont pas boosté par la musicalité du 1Z, même modé. Et pour le côté intimiste je suppose que le plein des mediums jouent à fond ?

[sausalito]

En effet et c'est la plus grande différence avec les tia tzar dont il est un fils illégitime .

[Popof94]

En vous lisant j’ecoute les Lcdi4 sur l’iphone, ben franchement c’est vraiment bien! Demain je vais faire un ZeDuK avec mon materiel

[Ringo2014]

Excellent, comme quoi ça rajoute encore une couche sur le fait qu'il faille prendre son temps avant avec le matos ! Et du coup oui ça donne envie. Je reste persuadé qu'ensuite, les Flamenco sont de superbes intras - sachant qu'elles valent deux fois moins cher vu qu'on ne peut pas acheter les Soundwriter sans le PWaudio 1960, mais passons. Ça reste une bonne nouvelle tout ça !

[ZeDuK]

En vous lisant j’ecoute les Lcdi4 sur l’iphone, ben franchement c’est vraiment bien! Demain je vais faire un ZeDuK avec mon materiel

[DaveStarWalker]

Intéressant,

J'ai quand même la sensation que la résolution "réelle" des Soundwriter est supérieure par rapport à la concurrence mise en face (Flamenco notamment), sui sanbs doute joue plutôt avec l'équilibre pour "donner l'impression de"

Tout étant relatif par ailleurs.

Mais c'est ce que je comprends à la lecture de ceci notamment :

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Avec les Soundwriter le pari est de garder au maximum ce sentiment de présence sans sacrifier à la clarté, d'ou l'expression "fil du rasoir "que j'avais employé.
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