Câbles DUNU (Hulk, ...)
- Ringo2014
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Je penses être tombé sur un câblage inversé gauche-droite. Je sentais que ça n'allais pas alors j'ai inversé...netttemment plus cohérent. D'ailleurs quand on inverse ça respecte le côté fendu vers l'extérieur sur les pins. Bon, je viens de tester sur les SE6 et c'est mieux...C'est vraiment bien ! J'attends les Plussound Tri-Copper et GPC (Gold Platted Copper) pour comprarer dans la section des cuivres. Le premier va arriver bientôt. Je vous tiens au jus !
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- Ringo2014
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En fait les pins sont fendus des deux côtés. La photo ci-dessous c'est le pin de gauche. Donc ça se joue à l'oreille...
Il faudrait lui faire un retour. Même pour lui c'est plus simple d'avoir un seul côté fendu pour s'y retrouver.
Il faudrait lui faire un retour. Même pour lui c'est plus simple d'avoir un seul côté fendu pour s'y retrouver.
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Je viens de checker en prenant 2 autres casques à câble fixe, le marquage R et L sont bien du bon côté.
Par contre vu qu’il y a deux rainures par connecteur si je prends le connecteur R et que j’inverse les 2 pins du même côté on est sensé être alerté par quoi précisément pour savoir qu’on a mis le + et le - dans le mauvais trou ? (C’est pas flagrant pour mes oreilles quand je joue sur ce point...)
Par contre vu qu’il y a deux rainures par connecteur si je prends le connecteur R et que j’inverse les 2 pins du même côté on est sensé être alerté par quoi précisément pour savoir qu’on a mis le + et le - dans le mauvais trou ? (C’est pas flagrant pour mes oreilles quand je joue sur ce point...)
DAP/DAC Cayin N6ii R01 & E01
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as-tu vérifié avec un multimètre pour t'en assurer ?Ringo2014 a écrit :Je penses être tombé sur un câblage inversé gauche-droite. Je sentais que ça n'allais pas alors j'ai inversé...netttemment plus cohérent. D'ailleurs quand on inverse ça respecte le côté fendu vers l'extérieur sur les pins. Bon, je viens de tester sur les SE6 et c'est mieux...C'est vraiment bien ! J'attends les Plussound Tri-Copper et GPC (Gold Platted Copper) pour comprarer dans la section des cuivres. Le premier va arriver bientôt. Je vous tiens au jus !
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Pour savoir si le pin est dans le bon sens il faut un appareil de mesure type multimètreMrYoyo a écrit :Je viens de checker en prenant 2 autres casques à câble fixe, le marquage R et L sont bien du bon côté.
Par contre vu qu’il y a deux rainures par connecteur si je prends le connecteur R et que j’inverse les 2 pins du même côté on est sensé être alerté par quoi précisément pour savoir qu’on a mis le + et le - dans le mauvais trou ? (C’est pas flagrant pour mes oreilles quand je joue sur ce point...)
Je vois vérification électrique.
Je me demandais s’il y avait d’abord des indices auditifs pour s’en apercevoir.
Je me demandais s’il y avait d’abord des indices auditifs pour s’en apercevoir.
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Bon, je viens de faire un test Hulk - Horus 8 - Hulk avec les SE6 et c'est vraiment pas dégueulasse. Il y a de la cohérence, de l'ouverture et les basses tapent fort tout en symbiose avec le reste. C'est pas ridicule et c'est un excellent RPQ. Les aigus restent très bien définis pour du cuivre. Pas de sentiment clostro sur ce câble et les médiums sont mis en valeur sans être gras. Je trouve que le designer à plutôt une bonne oreille !
Et les SE6 en passant c'est vraiment de la bombe : une belle profondeur et une énergie de malade. Ça cogne avec autant d'énergie que de musicalité et à très fort volume. On est très vite emporté. Quelles intras ! Que ce soit sur l'album de Makaya McCraven "Universal Beings" ou sur l'album "Angeles y Diablos" de l'orchestre de chambre Isabelle Van Keulen Ensemble jouant Astor Piazzola, on tape du pied dans le premier cas mais on est toujours submergé par l'émotion et la chair de poules. La signature est moins typée ou caractérisée que je ne le pensais. On est organique mais avec beaucoup de finesse et d'évidence grâce à un très haut niveau de détail ici encore. Pour le prix des Fourté je préfère milles fois ce qu'à réussi à faire Grzegorz. C'est bien plus intéressant. Je suis surpris par l'énergie si musicale de Vivaldi et le réalisme des cœurs du Gloria Magnificat ("Le concert Spirituel" dirigé par Hervé Nicquet). La précision du placement de Miles Davis dans l'orchestre "Sketches of Spain", très spécifique, est retrouvée ici avec brio et je le répète, avec enfin la musicalité réussie qui a initiée la volonté d'interpréter cet album. Tout est tellement bien en place, y compris la justesse des instruments c'est assez effrayant ! Les SE6 arrivent à décrypter avec la même acuité sans broncher le "Somewhere" de Jimi Hendrix dans ce qui est probablement le seul album correctement enregistré "People, Hell and Angels". La finesse, le détail, la musicalité, cette sensation d'être devant une vraie guitare avec toutes les harmoniques du bois retrouvé dans l'album "Flamenco" de Pepe Romero, encore une fois les SE6 ne déméritent pas. C'est souvent l'album que j'utilise pour tester la dynamique emprunté par la danseuse. Les harmoniques des castagnettes, parsemé des coups de talons intempestifs de la danseuse dans la pièce justement sont une pure joie, qui démontre avec autant de plaisir les capacités d'ouverture et de spatialisation des SE6. C'est vraiment un album fabuleux et on aimerait le faire entendre aux musiciens pour avoir leur avis tellement on est surpris par cette écoute comme si on y étais. Le seul défaut des SE6 est effectivement ses médiums légèrement secs qu'il faut savoir éveiller avec du cuivre ou de l'or par exemple, et qu'il faille beaucoup de puissance pour les exploiter. Pour le reste c'est un plaisir absolu avec toute type de musique.
Du peu que j'en ai écouté à plusieurs reprises, on est loin du caractère plus contemplatif des SE5. On est ici entraîné par la musicalité et le réalisme de toute interprétation qui se joue devant nous avec beaucoup, beaucoup de plaisir sans être ni trop ni trop peu sollicité...juste ce qu'il faut pour les apprécier. Pour moi ce sont des intras aussi vivantes que la musique.
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Et les SE6 en passant c'est vraiment de la bombe : une belle profondeur et une énergie de malade. Ça cogne avec autant d'énergie que de musicalité et à très fort volume. On est très vite emporté. Quelles intras ! Que ce soit sur l'album de Makaya McCraven "Universal Beings" ou sur l'album "Angeles y Diablos" de l'orchestre de chambre Isabelle Van Keulen Ensemble jouant Astor Piazzola, on tape du pied dans le premier cas mais on est toujours submergé par l'émotion et la chair de poules. La signature est moins typée ou caractérisée que je ne le pensais. On est organique mais avec beaucoup de finesse et d'évidence grâce à un très haut niveau de détail ici encore. Pour le prix des Fourté je préfère milles fois ce qu'à réussi à faire Grzegorz. C'est bien plus intéressant. Je suis surpris par l'énergie si musicale de Vivaldi et le réalisme des cœurs du Gloria Magnificat ("Le concert Spirituel" dirigé par Hervé Nicquet). La précision du placement de Miles Davis dans l'orchestre "Sketches of Spain", très spécifique, est retrouvée ici avec brio et je le répète, avec enfin la musicalité réussie qui a initiée la volonté d'interpréter cet album. Tout est tellement bien en place, y compris la justesse des instruments c'est assez effrayant ! Les SE6 arrivent à décrypter avec la même acuité sans broncher le "Somewhere" de Jimi Hendrix dans ce qui est probablement le seul album correctement enregistré "People, Hell and Angels". La finesse, le détail, la musicalité, cette sensation d'être devant une vraie guitare avec toutes les harmoniques du bois retrouvé dans l'album "Flamenco" de Pepe Romero, encore une fois les SE6 ne déméritent pas. C'est souvent l'album que j'utilise pour tester la dynamique emprunté par la danseuse. Les harmoniques des castagnettes, parsemé des coups de talons intempestifs de la danseuse dans la pièce justement sont une pure joie, qui démontre avec autant de plaisir les capacités d'ouverture et de spatialisation des SE6. C'est vraiment un album fabuleux et on aimerait le faire entendre aux musiciens pour avoir leur avis tellement on est surpris par cette écoute comme si on y étais. Le seul défaut des SE6 est effectivement ses médiums légèrement secs qu'il faut savoir éveiller avec du cuivre ou de l'or par exemple, et qu'il faille beaucoup de puissance pour les exploiter. Pour le reste c'est un plaisir absolu avec toute type de musique.
Du peu que j'en ai écouté à plusieurs reprises, on est loin du caractère plus contemplatif des SE5. On est ici entraîné par la musicalité et le réalisme de toute interprétation qui se joue devant nous avec beaucoup, beaucoup de plaisir sans être ni trop ni trop peu sollicité...juste ce qu'il faut pour les apprécier. Pour moi ce sont des intras aussi vivantes que la musique.
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