[Feedback] Oriolus
[Feedback] Oriolus
Cotoyant depuis plusieurs mois les Oriolus, il est temps de vous faire découvrir ces intra auriculaires venus encore une fois du pays du soleil levant.
Conçu par un ingénieur d'Ibasso ces écouteurs sont disponibles en version universel mais la version moulé est à priori disponible au japon en upgrade (pour les propriétaires des Oriolus universels)
Leur conception est de type hybride à savoir que vous trouverez à l'intérieur trois drivers à armatures équilibrées et un driver dynamique.
Ils proposent une impédance de 16 Ohms et une sensibilité de 114 db. Ils sont à ranger dans les catégories des intras sensibles et facilement drivables .
Enfin ils sont finalement disponibles à l'international auprès de Musica Acoustics au prix de 999 dollars ( http://www.musicaacoustics.com/#!oriolus/c1mgl)
Niveau packaging
Les Oriolus sont livrés dans un emballage plutôt imposant et sont présentés dans un écrin du plus bel effet à l'ouverture. Le cable livré renforce à nouveau l'impression de premium (jugez vous même sur les photos)
Par contre pour le reste vous serez plutôt désagréablement supris car à part les trois paires d'embouts en silicone et une paire de comply , vous aurez fait le tour.
Aucune boite de transport n'est par exemple fournie mais continuons notre découverte en étudiant de plus près les Oriolus.
Leur couleur peut varier changer en fonction de la luminosité passer de noir à bleu. L'effet est agréable même si à l'usage on ne le perçoit pas (les intras se trouvant dans vos oreilles)
Le corps des Oriolus est assez volumineux mais la coque est réalisée avec soin, bien lissée afin de ne présenter aucun angle pouvant géner le port. Les placer dans vos oreilles s'avère aussi confortable que les fitear togo 334 par exemple.
La canule est assez large présentant trois voies de sortie. Elle peut accueillir de nombreux embouts . L'évent necessaire pour faire fonctionner le driver dynamique est présent sur la facelift.
Le cable fourni est un peu trop rigide pour le nomade et a tendance à ne pas se retendre (gardant en mémoire les plis). Par contre j'aime bien les connecteurs dorés.
Les embouts en silicone fournis m'ont permis d'avoir un fit correct mais je le perdais en écoutant ma musique sur l'oreiller. J'ai donc du passer aux embouts Ortofon afin d'avoir un maintien complet peu importe la position. Je n'ai pas noté de changement au niveau sonore en passant aux Oriolus.
Maintenant que les présentations sont faites, nous pouvons passer au principal à savoir le son.
Niveau Son
Possédant ces intras depuis deux mois, j'ai pu les essayer sur de nombreux supports, allant de mon téléphone portable, en passant par un clip zip, un plenue 1, un hifiman hm901 et également sur mon ensemble sédentaire (Eddie Current Super 7).
Les Oriolus sont facilement drivables et le rendu est déjà très agréable sur mon Htc M7 pas réputé pour sa sortie audio. Le meilleur rendu est obtenu avec le Hm901.
Je les ai écouté sur de nombreux morceaux et pendant de longues heures. J'avais en effet décidé de prendre mon temps afin de rédiger ce retour.
Mais malgré ces deux mois passés, je me retrouve face un problème insoluble. Je suis toujours et de plus en plus « bluffé » par ces Oriolus et pourtant j'ai essayé de nombreux intras (Legend R, Nt6 pro, ACS Encore, EM32 pour ne parler que des derniers essayés entre mai et juin 2015) et j'ai pu les comparé au H8pro ; Mais aucun ne m'a autant impressionné par leur faculté à restituer la musique.
J'avoue que pour des premiers Intras Oriolus a placé la barre très haute.
Je vais donc essayer de vous restituer mes impressions le plus fidèlement possible à défaut de vous les faire essayer.
Un Soundstage vaste et profond
Lors de mes premières écoutes, j'ai immédiatement noté l'énorme espace sonore que propose ces Oriolus. En comparant avec mes H8pro j'avais l'impression qu'il s'agissait en quelque sorte d'un confrontation entre un casque ouvert et un casque fermé, et pourtant les H8pro ne sont pas les plus mal loti de ce côté là
Le soundstage proposé par ces Oriolus est vraiment exceptionnel et je m'en suis et m'en rends compte tous les jours à chaque écoute. Il allie largeur et profondeur afin de proposer le maximum d'espace sonore pour restituer la musique le tout le plus fidèlement possible.
Nous ne sommes pas face à l'exageration que proposait les Traluscent 1 + 2 avec en plus un creux au niveau des médiums . Dans le cas des Oriolus cet espace sonore permet d'apprécier l'étagement et le placement des différents instruments présents sur vos morceaux.
La présentation des voix plus frontale permet d'ajouter de l'immersion.
Des timbres riches
La deuxième qualité des Oriolus reside dans sa richesse des timbres. Je ne parle pas de coloration mais plutôt de diversités. Les Oriolus arrivent à déveloper un panel sur toutes les fréquences assez remarquables. Cette richesse vous permettra à la fois d'apprécier le grain et le rendu des voix de vos chanteurs ou chanteuses mais également le rendu des différents instruments. Vous percevrez également toutes les nuances et la subtilité des cuivres (Un régal).
Et cette richesse est encore plus perceptible grâce à l'aération proposée par les oriolus. Tout est bien intégré avec énormément de présence et d'imprégnation. L'ensemble proposé par les Oriolus est d'une cohérence impressionnante.
Une couleur musicals
Il est alors temps d'évoquer le timbre général des Oriolus. Certains pourront les décrire comme chaleureux, il suffira de demander au différent testeur) mais à titre de comparaison avec les lecteurs je les situerais dans l'esprit de Hifiman Hm901, ni chaleureux (trop de bas médiums par exemple) ni analytique mais tout à la fois et en fonction de la musique proposé. Ils ont une pointe de chaleur peut être au niveau des voix (un côté un peu rauque peut être mais à peine perceptible).
A nouveau je trouve qu'aucune des fréquences n'écrase l'autre. Les plages sont respectés et encore une fois avec une grande harmonie.
L'auditeur s'en apercevra d'autant plus que les Oriolus sont d'un intra particulierement résolvant. Le niveau de détails est encore
Un caractère résolvant
Et là encore ceci est encore accentué par le côté résolvant des Oriolus. Les détails fleurissent au gré des morceaux et des styles écoutés. Il n'y a encore aucun côté exagération ni genre frimeur. Les détails sont présentés encore une fois avec cohérence et sont là pour renforcer le côté musical de l'ensemble. A titre de comparaison les H8pro regorgent de détails mais ont tendance à un peu trop les étaler en oubliant le côté musical, l'harmonie et l'ampleur des morceau. Les Oriolus arrivent à présenter autant de détails mais avec une meilleure perspective et musicalité.
Arrivé à ce stade, vous vous demandez si vous n'avez pas sauté des paragraphes détaillant le niveau des basses, des médiums et des aigus. J'ai préféré tout simplement évoqué l'ensemble du rendu plutôt que de scinder mon retour par catégorie de fréquences.
Mais ne vous inquietez je vais détailler un peu plus en détail les Oriolus en vous proposant quelques exemples de mes écoutes. J'ai limité les morceaux au dernier écouté lors de la rédaction de ce retour.
Envoyez la musique....
Let's Play
Paul simon - Late in the evening. ( )
Ce morceau permettra d'apprécier le rendu en intro des percussions et tout au long du morceau. C'est percussif jamais trainant. Et le tout portant par la voix de Paul au centre. Ecoutez ce morceau et allez directement autour des 3 minutes. Le jeu de percussion en fond avec les cuivres légèrement sur le côté est restrancrit avec grande musicalité par les Oriolus. Les notes flottent comme rarement.
Paul Simon - Heart and Bones ( )
La voix flottent. Elle est par moment proche et s'eloigne ensuite mettant bien en avant la profondeur de l'enregistrement. Avec les guitares de chaque côté , les Oriolus permettet apprécier leur jeu de corde sans parler des percussions en arrière plan qui resonnent.
Radiohead Backdrifts ( et GO to the sleep ( )
Quelle ampleur pour ces deux morceaux. L'écoute de Radiohead avec ces intras est impressionnant. On apprécie le travail d'arrangement effectué sur cet album.
Radiohead There there ( )
L'intro avec les percussions permet de mettre en évidence la qualité des Oriolus dans le rendu des basses (impact et résonnance). Au moment du refrain, la voix vous permettra de prendre un peu de hauteur et encore une fois l'espace sonore et le déplacement du son est réalisé avec brio par ces Oriolus
Ray Lamontagne Let it be me ( )
A nouveau c'est l'espace sonore développé par ces Oriolus qui impressionne, permettant d'appréciant le grain de voix de Ray. D'ailleurs les Oriolus arrivent à parfaitement retranscrire l'émotion véhiculée dans la plupart des musiques folk.
Ici le piano pose sa mélodie en fond et Ray chante dessus avec les violons retrancrivant toute la mélancolie
Sigur Ros Saeglopur ( )
Le morceau débute avec une petite mélodie jouée au triangle ou autre xilophone et le tout imbriqué dans un jeu de voix. C'est planant, beau et le rendu est , je pense , tel que le voulais l'artiste (Faudrait leur faire essayer) Mais c'est réellement beau et magnifique. Et vers les 2 minutes, la batterie et la guitare saturée arrivent soudainement et vous emportent dans un orage de son et de mélodie. Le morceau se conclue avec des violons ou autres instruments à corde. Vraiment une merveille.
Ce morceau extrèmenent complexe permet de mettre en avant les qualités resolvants des casques ainsi que le placement. Et Là c'est un sans faute.
James Vincent Mcmorrow Gold ( )
Le morceau débute par la voix de James entouré de guitares. Le rendu de la voix de James ici est réalisé avec soin. C'est fluide, fin, et montant comme l'est sa voix si particulière.
La chanson prend toute sa ampleur avec le refrain ou se mèle tous les instruments avec la voix au milieu qui cherche à percer à monter le plus haut possible.
Avec les Oriolus pas d'exagération, pas d'agression dans les aigus. Tout est juste et tellement beau.
Ecoutez l'album d'ailleurs un de mes préférés et très révélateurs au niveau des aigus et haut médiums.
James Vincent Mcmorrow -If I had a boat ( )
Le morceau débute encore avec la voix de James puis vient d'un côté la grosse caisse et de l'autre les cymbales avec un peu de guitare. La voix de James revient au centre et occupe une place importante. Le refrain intervient avec les choeurs feminins de chaque côté puis le reste de la batterie avec les guitares interviennent. Les Oriolus étalent à nouveau leur grande qualité technique. Les petits tambourins côté droit sont parfaitement audibles. Et la voix de James arrive seul avec le piano en fond vers les 3 minutes pour ensuite s'envoler avec le reste des instruments. La profondeur des Oriolus permet à James de s'exprimer pleinement et leur richesse des timbres d'apprécier le grain de voix de ce chanteur.
Destroyer Bangkok (vidéo non disponible)
Le morceau débute avec la voix du chanteur rauque et ensuite la guitare pincée arrive, le tout matiné de violons, de piano et d'instruments à corde. Les Oriolus vont font apprécier les différents timbres des instruments ainsi que la voix du chanteur. La fin du morceau permet d'entrevoir les qualités de swing et de groove que peuvent dévolopper les Oriolus
Benjamin Clementine The people and I. ( )
Le morceau débute par le piano et le violon. Les Oriolus véhiculent avec brio et réalisme ces deux instruments, tant dans la diffusion du son (violon) que le maintien de la note (piano) Et la voix de Benjamin intervient. Elles se rapprochent , s'éloignent, prend de la hauteur tout au long du morceau au gré du jeu du chanteur. Encore un sans faute. Là seule envie ici est de monter le son sans cesse pour apprécier ce jeu entre voix piano et violon.
A la fin les percussions arrivent et là encore les Oriolus apporte un rendu soyeux au morceau.
Beth Hart Tell em to Hold On ( )
Un morceau et un album compliqués à écouter. La voix de Beth peut avoir un côté un peu agressif en fonction des casques et intras utilisés. Ici les Oriolus étalent encore leur qualité dans le traitement des médiums. La voix est parfaitement détourée, le grain un peu rauque de Beth est restitué avec respect. Une très grande réussite (beaucoup d'intras perdent sur ce morceau). Le reste des instruments (batterie, guitare, basse) est restitué encore une fois à merveille.
Brigitte A bouche que veux tu ( )
Avec ce morceau les Oriolus étalent leur maitrise dans le groove. Les basses particulièrement présentent après le morceau servent de point d'ancrage au morceau. La ligne de basse (3m10) accentuent le groove et donnent envie de danser. Et encore une fois quelle espace sonore dévoloppée ici.
Creedence Clearwater Revival I heard It hrough the Grapevine ( )
Le morceau débute avec la ligne de basse côté gauche puis la batterie côté gauche et ensuite la voix du chanteur. Le reste du morceau vous le connaissez et bien avec les Oriolus j'ai pris une claque tant au niveau de l'impact et du groove du morceau.
La voix est restituée avec ampleur et quel grain. Et les batteries sont magiques sur ce morceau avec les différents breaks ou autres ponts présents au cours de ce morceau de 11 minutes.
Un morceau révélateur pour les basses et aussi les aigus avec les solos de guitares. Ici les basses ne sont ni trainantes ni grasses juste impactantes.
Et le plus impressionant réside dans le rendu des guitares. Un groove, une musicalité. Chapeau bas à CCR et aux Oriolus
The Avener – Panama ( )
Les Oriolus maitrisent à nouveau leur sujet. Les basses ne vous écrasent pas trop, leur rendu est à la fois épais, impactant et légèrement trainant. La ligne mélodique prend elle de la hauteur. Encore une fois le maitre mot est le groove. Avec son espace sonore, les Oriolus arrivent à faire déplacer le son comme aucun autre intra essayé (dans mes oreilles).
S O H N – VETO ( )
La voix est restituée avec ampleur (l'enregistrement présente pas mal d'effets de reverb et d'écho) le tout grace encore une fois à l'espace sonore proposée par les Oriolus.
Les basses vous englobent par le suite et le tout vient s'enchevétré avec musicalité. Le rendu des basses restent très respectueux du reste tout en étant bien présent s'agissant d'un élément primordial dans ce style de musique.
C'est également le cas sur LESSONS où la encore les Oriolus étalent leur qualité dans le déplacement du son. Je pourrais continuer avec tous l'album qui est par ailleurs un petit bijou.
Dire Straits Tunnel of Love (Alchemy) ( )
Un titre incontournable et toujours aussi agréable à écouter. Le Live est fait pour les Oriolus. Une fois encore leur espace sonore permet au nombreux instruments de diffuser leur son. Et la richesse des timbres vous permettra d'apprecier toutes les nuances proposés par les musiciens.
Et quel groove la guitare de Mark, le piano le tout porté par le piano ample. Et le rendu de la voix lorsque Mark s'éloigne du micro quel effet de profondeur avec la public qui crie en arrière.
Lors de toutes mes écoutes j'ai constaté que les Oriolus arrivaient en retranscrire les LIVE avec brio. Sans doute par leur qualité de placement et de soundstage, mais pas uniquement les timbres sont clairement bien retranscrits et tous les intruments sont parfaitement identifiables.
Je pourrais continuer à enchainer les exemples afin d'évoquer les nombreux plaisirs ressenties lors de mes écoutes (Damien Rice, Miles Davis, Villagers, Sufjan Stevens......) mais la liste serait trop longue et la lecture trop ennuyeuse (tout le contraire des Oriolus) .
Conlusion
En prenant le temps de lire ces lignes, vous avez du réaliser à quel point les Oriolus m'ont « bluffé » en étalant leurs nombreuses qualités déployées dans un seul but . Celui de vous faire vivre la musique, ressentir les émotions véhiculées dans nos morceaux préférés. Les Oriolus sont des machines à groove, à swing. Avec ces intras dans les oreilles vous oubliez toute écoute critique et vous appréciez tout simplement la musique.
Et encore une fois c'est avec le plus grand mal que j'ai réussi à rédiger ce retour. Je me devais de l'écrire , les ingénieurs d'Oriolus ayant conçu un petit bijou de musicalité.
J'avoue d'ailleurs que j'aimerais savoir comment ils ont pu s'y prendre. Pour les avoir écouter, les Oriolus se rapprochent du son Fitear (334 et 335) mais en apportant les qualités des hybrides.
Alors, les Oriolus présentent peut être (certainement) des défauts mais j'avoue que je ne suis pas arrivé à les percevoir et pourtant cela fait deux mois que je les utilisent quotidiennement en prenant autant de plaisir
Bon puisque vous insistez un peu, en cherchant bien, j'ai trouvé leur défaut principal . Ils sont exclusifs et essayer d'autres intras à côté peut s'avérer dangereux pour ces derniers (désolé pour les FLC8, et les H8pro en ont fait les frais)
Sur ce si vous les croisez, n'hesitez pas à les essayer.
Qualités
Soundstage profond et vaste offrant un excellent placement et étagement
Richesses des timbres
Musicalité offrant groove ou swing
Facilement drivable.
Défauts :
L'isolation est celle d'un intra hybride. La présence de l'event sur la facelift ne le rend pas particulièrement isolant surtout en extérieur.
Le cable trop rigide
Le packaging trop léger pour le prix
La taille peut être un peu volumineuse de l'intra
P.S. ttaazz : feedback Sausa
Conçu par un ingénieur d'Ibasso ces écouteurs sont disponibles en version universel mais la version moulé est à priori disponible au japon en upgrade (pour les propriétaires des Oriolus universels)
Leur conception est de type hybride à savoir que vous trouverez à l'intérieur trois drivers à armatures équilibrées et un driver dynamique.
Ils proposent une impédance de 16 Ohms et une sensibilité de 114 db. Ils sont à ranger dans les catégories des intras sensibles et facilement drivables .
Enfin ils sont finalement disponibles à l'international auprès de Musica Acoustics au prix de 999 dollars ( http://www.musicaacoustics.com/#!oriolus/c1mgl)
Niveau packaging
Les Oriolus sont livrés dans un emballage plutôt imposant et sont présentés dans un écrin du plus bel effet à l'ouverture. Le cable livré renforce à nouveau l'impression de premium (jugez vous même sur les photos)
Par contre pour le reste vous serez plutôt désagréablement supris car à part les trois paires d'embouts en silicone et une paire de comply , vous aurez fait le tour.
Aucune boite de transport n'est par exemple fournie mais continuons notre découverte en étudiant de plus près les Oriolus.
Leur couleur peut varier changer en fonction de la luminosité passer de noir à bleu. L'effet est agréable même si à l'usage on ne le perçoit pas (les intras se trouvant dans vos oreilles)
Le corps des Oriolus est assez volumineux mais la coque est réalisée avec soin, bien lissée afin de ne présenter aucun angle pouvant géner le port. Les placer dans vos oreilles s'avère aussi confortable que les fitear togo 334 par exemple.
La canule est assez large présentant trois voies de sortie. Elle peut accueillir de nombreux embouts . L'évent necessaire pour faire fonctionner le driver dynamique est présent sur la facelift.
Le cable fourni est un peu trop rigide pour le nomade et a tendance à ne pas se retendre (gardant en mémoire les plis). Par contre j'aime bien les connecteurs dorés.
Les embouts en silicone fournis m'ont permis d'avoir un fit correct mais je le perdais en écoutant ma musique sur l'oreiller. J'ai donc du passer aux embouts Ortofon afin d'avoir un maintien complet peu importe la position. Je n'ai pas noté de changement au niveau sonore en passant aux Oriolus.
Maintenant que les présentations sont faites, nous pouvons passer au principal à savoir le son.
Niveau Son
Possédant ces intras depuis deux mois, j'ai pu les essayer sur de nombreux supports, allant de mon téléphone portable, en passant par un clip zip, un plenue 1, un hifiman hm901 et également sur mon ensemble sédentaire (Eddie Current Super 7).
Les Oriolus sont facilement drivables et le rendu est déjà très agréable sur mon Htc M7 pas réputé pour sa sortie audio. Le meilleur rendu est obtenu avec le Hm901.
Je les ai écouté sur de nombreux morceaux et pendant de longues heures. J'avais en effet décidé de prendre mon temps afin de rédiger ce retour.
Mais malgré ces deux mois passés, je me retrouve face un problème insoluble. Je suis toujours et de plus en plus « bluffé » par ces Oriolus et pourtant j'ai essayé de nombreux intras (Legend R, Nt6 pro, ACS Encore, EM32 pour ne parler que des derniers essayés entre mai et juin 2015) et j'ai pu les comparé au H8pro ; Mais aucun ne m'a autant impressionné par leur faculté à restituer la musique.
J'avoue que pour des premiers Intras Oriolus a placé la barre très haute.
Je vais donc essayer de vous restituer mes impressions le plus fidèlement possible à défaut de vous les faire essayer.
Un Soundstage vaste et profond
Lors de mes premières écoutes, j'ai immédiatement noté l'énorme espace sonore que propose ces Oriolus. En comparant avec mes H8pro j'avais l'impression qu'il s'agissait en quelque sorte d'un confrontation entre un casque ouvert et un casque fermé, et pourtant les H8pro ne sont pas les plus mal loti de ce côté là
Le soundstage proposé par ces Oriolus est vraiment exceptionnel et je m'en suis et m'en rends compte tous les jours à chaque écoute. Il allie largeur et profondeur afin de proposer le maximum d'espace sonore pour restituer la musique le tout le plus fidèlement possible.
Nous ne sommes pas face à l'exageration que proposait les Traluscent 1 + 2 avec en plus un creux au niveau des médiums . Dans le cas des Oriolus cet espace sonore permet d'apprécier l'étagement et le placement des différents instruments présents sur vos morceaux.
La présentation des voix plus frontale permet d'ajouter de l'immersion.
Des timbres riches
La deuxième qualité des Oriolus reside dans sa richesse des timbres. Je ne parle pas de coloration mais plutôt de diversités. Les Oriolus arrivent à déveloper un panel sur toutes les fréquences assez remarquables. Cette richesse vous permettra à la fois d'apprécier le grain et le rendu des voix de vos chanteurs ou chanteuses mais également le rendu des différents instruments. Vous percevrez également toutes les nuances et la subtilité des cuivres (Un régal).
Et cette richesse est encore plus perceptible grâce à l'aération proposée par les oriolus. Tout est bien intégré avec énormément de présence et d'imprégnation. L'ensemble proposé par les Oriolus est d'une cohérence impressionnante.
Une couleur musicals
Il est alors temps d'évoquer le timbre général des Oriolus. Certains pourront les décrire comme chaleureux, il suffira de demander au différent testeur) mais à titre de comparaison avec les lecteurs je les situerais dans l'esprit de Hifiman Hm901, ni chaleureux (trop de bas médiums par exemple) ni analytique mais tout à la fois et en fonction de la musique proposé. Ils ont une pointe de chaleur peut être au niveau des voix (un côté un peu rauque peut être mais à peine perceptible).
A nouveau je trouve qu'aucune des fréquences n'écrase l'autre. Les plages sont respectés et encore une fois avec une grande harmonie.
L'auditeur s'en apercevra d'autant plus que les Oriolus sont d'un intra particulierement résolvant. Le niveau de détails est encore
Un caractère résolvant
Et là encore ceci est encore accentué par le côté résolvant des Oriolus. Les détails fleurissent au gré des morceaux et des styles écoutés. Il n'y a encore aucun côté exagération ni genre frimeur. Les détails sont présentés encore une fois avec cohérence et sont là pour renforcer le côté musical de l'ensemble. A titre de comparaison les H8pro regorgent de détails mais ont tendance à un peu trop les étaler en oubliant le côté musical, l'harmonie et l'ampleur des morceau. Les Oriolus arrivent à présenter autant de détails mais avec une meilleure perspective et musicalité.
Arrivé à ce stade, vous vous demandez si vous n'avez pas sauté des paragraphes détaillant le niveau des basses, des médiums et des aigus. J'ai préféré tout simplement évoqué l'ensemble du rendu plutôt que de scinder mon retour par catégorie de fréquences.
Mais ne vous inquietez je vais détailler un peu plus en détail les Oriolus en vous proposant quelques exemples de mes écoutes. J'ai limité les morceaux au dernier écouté lors de la rédaction de ce retour.
Envoyez la musique....
Let's Play
Paul simon - Late in the evening. ( )
Ce morceau permettra d'apprécier le rendu en intro des percussions et tout au long du morceau. C'est percussif jamais trainant. Et le tout portant par la voix de Paul au centre. Ecoutez ce morceau et allez directement autour des 3 minutes. Le jeu de percussion en fond avec les cuivres légèrement sur le côté est restrancrit avec grande musicalité par les Oriolus. Les notes flottent comme rarement.
Paul Simon - Heart and Bones ( )
La voix flottent. Elle est par moment proche et s'eloigne ensuite mettant bien en avant la profondeur de l'enregistrement. Avec les guitares de chaque côté , les Oriolus permettet apprécier leur jeu de corde sans parler des percussions en arrière plan qui resonnent.
Radiohead Backdrifts ( et GO to the sleep ( )
Quelle ampleur pour ces deux morceaux. L'écoute de Radiohead avec ces intras est impressionnant. On apprécie le travail d'arrangement effectué sur cet album.
Radiohead There there ( )
L'intro avec les percussions permet de mettre en évidence la qualité des Oriolus dans le rendu des basses (impact et résonnance). Au moment du refrain, la voix vous permettra de prendre un peu de hauteur et encore une fois l'espace sonore et le déplacement du son est réalisé avec brio par ces Oriolus
Ray Lamontagne Let it be me ( )
A nouveau c'est l'espace sonore développé par ces Oriolus qui impressionne, permettant d'appréciant le grain de voix de Ray. D'ailleurs les Oriolus arrivent à parfaitement retranscrire l'émotion véhiculée dans la plupart des musiques folk.
Ici le piano pose sa mélodie en fond et Ray chante dessus avec les violons retrancrivant toute la mélancolie
Sigur Ros Saeglopur ( )
Le morceau débute avec une petite mélodie jouée au triangle ou autre xilophone et le tout imbriqué dans un jeu de voix. C'est planant, beau et le rendu est , je pense , tel que le voulais l'artiste (Faudrait leur faire essayer) Mais c'est réellement beau et magnifique. Et vers les 2 minutes, la batterie et la guitare saturée arrivent soudainement et vous emportent dans un orage de son et de mélodie. Le morceau se conclue avec des violons ou autres instruments à corde. Vraiment une merveille.
Ce morceau extrèmenent complexe permet de mettre en avant les qualités resolvants des casques ainsi que le placement. Et Là c'est un sans faute.
James Vincent Mcmorrow Gold ( )
Le morceau débute par la voix de James entouré de guitares. Le rendu de la voix de James ici est réalisé avec soin. C'est fluide, fin, et montant comme l'est sa voix si particulière.
La chanson prend toute sa ampleur avec le refrain ou se mèle tous les instruments avec la voix au milieu qui cherche à percer à monter le plus haut possible.
Avec les Oriolus pas d'exagération, pas d'agression dans les aigus. Tout est juste et tellement beau.
Ecoutez l'album d'ailleurs un de mes préférés et très révélateurs au niveau des aigus et haut médiums.
James Vincent Mcmorrow -If I had a boat ( )
Le morceau débute encore avec la voix de James puis vient d'un côté la grosse caisse et de l'autre les cymbales avec un peu de guitare. La voix de James revient au centre et occupe une place importante. Le refrain intervient avec les choeurs feminins de chaque côté puis le reste de la batterie avec les guitares interviennent. Les Oriolus étalent à nouveau leur grande qualité technique. Les petits tambourins côté droit sont parfaitement audibles. Et la voix de James arrive seul avec le piano en fond vers les 3 minutes pour ensuite s'envoler avec le reste des instruments. La profondeur des Oriolus permet à James de s'exprimer pleinement et leur richesse des timbres d'apprécier le grain de voix de ce chanteur.
Destroyer Bangkok (vidéo non disponible)
Le morceau débute avec la voix du chanteur rauque et ensuite la guitare pincée arrive, le tout matiné de violons, de piano et d'instruments à corde. Les Oriolus vont font apprécier les différents timbres des instruments ainsi que la voix du chanteur. La fin du morceau permet d'entrevoir les qualités de swing et de groove que peuvent dévolopper les Oriolus
Benjamin Clementine The people and I. ( )
Le morceau débute par le piano et le violon. Les Oriolus véhiculent avec brio et réalisme ces deux instruments, tant dans la diffusion du son (violon) que le maintien de la note (piano) Et la voix de Benjamin intervient. Elles se rapprochent , s'éloignent, prend de la hauteur tout au long du morceau au gré du jeu du chanteur. Encore un sans faute. Là seule envie ici est de monter le son sans cesse pour apprécier ce jeu entre voix piano et violon.
A la fin les percussions arrivent et là encore les Oriolus apporte un rendu soyeux au morceau.
Beth Hart Tell em to Hold On ( )
Un morceau et un album compliqués à écouter. La voix de Beth peut avoir un côté un peu agressif en fonction des casques et intras utilisés. Ici les Oriolus étalent encore leur qualité dans le traitement des médiums. La voix est parfaitement détourée, le grain un peu rauque de Beth est restitué avec respect. Une très grande réussite (beaucoup d'intras perdent sur ce morceau). Le reste des instruments (batterie, guitare, basse) est restitué encore une fois à merveille.
Brigitte A bouche que veux tu ( )
Avec ce morceau les Oriolus étalent leur maitrise dans le groove. Les basses particulièrement présentent après le morceau servent de point d'ancrage au morceau. La ligne de basse (3m10) accentuent le groove et donnent envie de danser. Et encore une fois quelle espace sonore dévoloppée ici.
Creedence Clearwater Revival I heard It hrough the Grapevine ( )
Le morceau débute avec la ligne de basse côté gauche puis la batterie côté gauche et ensuite la voix du chanteur. Le reste du morceau vous le connaissez et bien avec les Oriolus j'ai pris une claque tant au niveau de l'impact et du groove du morceau.
La voix est restituée avec ampleur et quel grain. Et les batteries sont magiques sur ce morceau avec les différents breaks ou autres ponts présents au cours de ce morceau de 11 minutes.
Un morceau révélateur pour les basses et aussi les aigus avec les solos de guitares. Ici les basses ne sont ni trainantes ni grasses juste impactantes.
Et le plus impressionant réside dans le rendu des guitares. Un groove, une musicalité. Chapeau bas à CCR et aux Oriolus
The Avener – Panama ( )
Les Oriolus maitrisent à nouveau leur sujet. Les basses ne vous écrasent pas trop, leur rendu est à la fois épais, impactant et légèrement trainant. La ligne mélodique prend elle de la hauteur. Encore une fois le maitre mot est le groove. Avec son espace sonore, les Oriolus arrivent à faire déplacer le son comme aucun autre intra essayé (dans mes oreilles).
S O H N – VETO ( )
La voix est restituée avec ampleur (l'enregistrement présente pas mal d'effets de reverb et d'écho) le tout grace encore une fois à l'espace sonore proposée par les Oriolus.
Les basses vous englobent par le suite et le tout vient s'enchevétré avec musicalité. Le rendu des basses restent très respectueux du reste tout en étant bien présent s'agissant d'un élément primordial dans ce style de musique.
C'est également le cas sur LESSONS où la encore les Oriolus étalent leur qualité dans le déplacement du son. Je pourrais continuer avec tous l'album qui est par ailleurs un petit bijou.
Dire Straits Tunnel of Love (Alchemy) ( )
Un titre incontournable et toujours aussi agréable à écouter. Le Live est fait pour les Oriolus. Une fois encore leur espace sonore permet au nombreux instruments de diffuser leur son. Et la richesse des timbres vous permettra d'apprecier toutes les nuances proposés par les musiciens.
Et quel groove la guitare de Mark, le piano le tout porté par le piano ample. Et le rendu de la voix lorsque Mark s'éloigne du micro quel effet de profondeur avec la public qui crie en arrière.
Lors de toutes mes écoutes j'ai constaté que les Oriolus arrivaient en retranscrire les LIVE avec brio. Sans doute par leur qualité de placement et de soundstage, mais pas uniquement les timbres sont clairement bien retranscrits et tous les intruments sont parfaitement identifiables.
Je pourrais continuer à enchainer les exemples afin d'évoquer les nombreux plaisirs ressenties lors de mes écoutes (Damien Rice, Miles Davis, Villagers, Sufjan Stevens......) mais la liste serait trop longue et la lecture trop ennuyeuse (tout le contraire des Oriolus) .
Conlusion
En prenant le temps de lire ces lignes, vous avez du réaliser à quel point les Oriolus m'ont « bluffé » en étalant leurs nombreuses qualités déployées dans un seul but . Celui de vous faire vivre la musique, ressentir les émotions véhiculées dans nos morceaux préférés. Les Oriolus sont des machines à groove, à swing. Avec ces intras dans les oreilles vous oubliez toute écoute critique et vous appréciez tout simplement la musique.
Et encore une fois c'est avec le plus grand mal que j'ai réussi à rédiger ce retour. Je me devais de l'écrire , les ingénieurs d'Oriolus ayant conçu un petit bijou de musicalité.
J'avoue d'ailleurs que j'aimerais savoir comment ils ont pu s'y prendre. Pour les avoir écouter, les Oriolus se rapprochent du son Fitear (334 et 335) mais en apportant les qualités des hybrides.
Alors, les Oriolus présentent peut être (certainement) des défauts mais j'avoue que je ne suis pas arrivé à les percevoir et pourtant cela fait deux mois que je les utilisent quotidiennement en prenant autant de plaisir
Bon puisque vous insistez un peu, en cherchant bien, j'ai trouvé leur défaut principal . Ils sont exclusifs et essayer d'autres intras à côté peut s'avérer dangereux pour ces derniers (désolé pour les FLC8, et les H8pro en ont fait les frais)
Sur ce si vous les croisez, n'hesitez pas à les essayer.
Qualités
Soundstage profond et vaste offrant un excellent placement et étagement
Richesses des timbres
Musicalité offrant groove ou swing
Facilement drivable.
Défauts :
L'isolation est celle d'un intra hybride. La présence de l'event sur la facelift ne le rend pas particulièrement isolant surtout en extérieur.
Le cable trop rigide
Le packaging trop léger pour le prix
La taille peut être un peu volumineuse de l'intra
P.S. ttaazz : feedback Sausa
En mode promenade : Oriolus Trailli, FIr Audio Xenon 6, Craft Ears Aurum, 64 Audio Duo , Lotoo paw S1 , Cayin ru6, fibae 2 et Warbler prelude
Je suis devenu tellement nomade. Et c'est tellement mieux.
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excellent Fab
j'ai dévoré en première lecture,je vais y revenir à tête reposée.
Un feed qui réveille mon envie de faire de nouvelles expériences
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Devise "Je me demande si je ne fais pas une connerie en le vendant."
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- Space Cowboy
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Super feedback, je m'y retrouve beaucoup pour en avoir beaucoup discuté en mp avec toi.
Au dessus, c'est le soleil! (ou les Tin T3)
[attention, cette phrase contient un mot interdit sur TN...]
The new Hype HDG is coming ?
[/fin des grossièretés]
Super feedback très parlant, on ressent pleinement ton amour pour ces intras. Mais tant que c'est assumé et pleinement expliqué comme ici ça passe très bien. Il sera bon de trouver quelqu'un qui ne les aime pas pour qu'il nous en décrive les défauts, quand même.
Merci pour ton boulot en tout cas !
The new Hype HDG is coming ?
[/fin des grossièretés]
Super feedback très parlant, on ressent pleinement ton amour pour ces intras. Mais tant que c'est assumé et pleinement expliqué comme ici ça passe très bien. Il sera bon de trouver quelqu'un qui ne les aime pas pour qu'il nous en décrive les défauts, quand même.
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- riton
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Ça laisse rêveur un feedback comme ça
Tu les as acheté chez MusicaAcoustics ?
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Je veux bien leur trouver des défauts si on me les prêteIl sera bon de trouver quelqu'un qui ne les aime pas pour qu'il nous en décrive les défauts, quand même.
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- Space Cowboy
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C'est surtout justifié! (fanboy inside)kookaburra a écrit :[attention, cette phrase contient un mot interdit sur TN...]
The new Hype HDG is coming ?
[/fin des grossièretés]
Super feedback très parlant, on ressent pleinement ton amour pour ces intras. Mais tant que c'est assumé et pleinement expliqué comme ici ça passe très bien. Il sera bon de trouver quelqu'un qui ne les aime pas pour qu'il nous en décrive les défauts, quand même.
Merci pour ton boulot en tout cas !
Au dessus, c'est le soleil! (ou les Tin T3)
Je n'en doute pas !!Space Cowboy a écrit : C'est surtout justifié! (fanboy inside)
Mais ça viendra, ça vient toujours... Il suffit de lire le topic des FLC8, on a maintenant quelques retours négatifs et ça aide à mieux comprendre comment sont ces intras (sans que cela n'enlève rien aux qualités ressenties par ceux qui les aiment : ça reste de super intras pour lesquels plein de personnes semblent contentes ! ).
- jxh
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excellent, tout comme le retour énamouré de fabriton a écrit : Je veux bien leur trouver des défauts si on me les prête ;-/
ça fait vraiment envie cette affaire
There's a dream I keep having, where my momma comes to me
And kneels down over by the window, and says a prayer for me. Got my own way of praying, but everyone's begun With a southern accent, where I come from
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- the wizard of oz
- Je me suis greffé des intras
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Merci pour ce feedback des plus agréables à lire, et sa playlist inspirante.
P.S. Via PriceJapan, ils ne seraient pas moins chers ? On paye la douane dans les deux cas de toute façon.
P.S. Via PriceJapan, ils ne seraient pas moins chers ? On paye la douane dans les deux cas de toute façon.
Merci surtout pour l association avec le hm901 .sausalito a écrit :excellent Fab
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Et oui on a en a bien discuté de ces intras.Space Cowboy a écrit :Super feedback, je m'y retrouve beaucoup pour en avoir beaucoup discuté en mp avec toi.
D ailleurs je te remercie pour ton impression au festival de Fujyuama.
Ah ah le pire je les ai acheté sur head fi fin juin à un prix défiant toute concurrence.riton a écrit :Ça laisse rêveur un feedback comme ça :(l)
Tu les as acheté chez MusicaAcoustics ?
Je veux bien leur trouver des défauts si on me les prête ;-/Il sera bon de trouver quelqu'un qui ne les aime pas pour qu'il nous en décrive les défauts, quand même.
Et depuis cette période je me suis retenu.
Mais là j étais obligé de vous faire part de cet énorme coup de coeur.
J avais eu un bon coup d avoir coeur en essayant les fitear apporté par Sc il y a quelques temps déjà. Mais là dès la première écoute j ai été bluffé.
Et merci à kooka et jxh aussi.
Et désolé mais impossible de rédiger un vrai test. Je n aurais pu que les placer devant tous les intras que j ai essayé (k10 et togo 334 compris )
@Kooka
Pour ne pas les aimer je crois qu' il ne faudra pas aimer la musicalité
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Donc si on ne les aime pas, on a forcément tort ? (Puisque jusqu'à preuve du contraire, tout le monde ici est sur sa propre quête de la musicalité.)
(Je cherche à comprendre, hein, même s'ils m'intriguent beaucoup. D'ailleurs, c'est quelle config ? Monodriver ?)
(Je cherche à comprendre, hein, même s'ils m'intriguent beaucoup. D'ailleurs, c'est quelle config ? Monodriver ?)
Il est infiniment plus rapide d'énoncer une connerie que de la réfuter.
C'était une petite blaguecorderaide a écrit :Donc si on ne les aime pas, on a forcément tort ? (Puisque jusqu'à preuve du contraire, tout le monde ici est sur sa propre quête de la musicalité.)
(Je cherche à comprendre, hein, même s'ils m'intriguent beaucoup. D'ailleurs, c'est quelle config ? Monodriver ?)
Chacun a le droit d'aimer ou pas. Aucun souci.
Comme je l'ai mentionné j'ai entendu pour effectuer ce retour. Après clairement il s'agit d'intras extrêmement bien réalisés. (Un peu gros par contre donc méfiance pour le port).
Et la circulation du son avec est impressionnante. Aucun intra ne m'avait permis d'obtenir ce résultat.
Pour la config suffit de lire le début
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Votre femme s'apprête à joindre les témoins de jéhovah?
Votre mari croit avoir une preuve que la relativité est une théorie absurde
Votre fils a l'impression d'être surveillé par les petits gris
Votre fille fait une fixation sur Justin Timberlake
n'hésitez pas,faites appel à Corde
Il élimine à la base les fausses croyances et autres billevesées pour le modeste don d'un Orphée
Merci qui!merci corde
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Les petits gris, ce sont des escargots...
Et j'aime bien l'album "Future-Sex/Lovesongs" de Justin Timberlake. Et je n'ai pas (trop) honte de le dire !
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