[Feedback] Sony IER Z1R universels
Publié : 28 juil. 2020 19:42
Cela faisait un certain temps que j’avais abandonné le monde des intras pour passer à celui plus sédentaire des casques. J’ai eu envie d’y retourner intrigué et alléché par ce que le lisais sur certaines paires et notamment les Sony IER Z1R. J’ai parcouru TN et me suis aperçu qu’il n’y avait pas eu de retour complet sur cette paire d’intras qui a fait couler beaucoup d’encre avant puis après sa sortie.
Ayant eu l’occasion d’en acquérir une paire récemment je vous livre un petit retour de mes impressions, du déballage aux écoutes.
Le déballage:
Les Sony IER Z1R sont donc livrés dans un emballage assez luxueux type coffret à bijoux. Au premier étage la paire d’écouteurs que Sony aime appeler casque et au dernier un grands choix d’embouts de toutes tailles.
Entre: 2 tiroirs pour les 2 câbles: l’un en 3,5mm et l’autre en 4,4mm format de la marque Sony et qu’elle utilise notamment sur ses baladeurs 1A et 1Z.
La fabrication:
comme tout produit Sony la fabrication est superlative dans sa finition. Le boîtier est en alliage de zirconium ce qui est déjà exceptionnel en soit et renferme un système hybride 3 voies: un diaphragme de 12 mm de diamètre dédié aux basses fréquences, un transducteur à armature équilibrée pour les médiums et un super tweeter de 5 mm de diamètre. On est donc dans quelque chose d’assez rare en matière d’intras: l’utilisation de membranes identiques à celles utilisées sur les casques pour les graves et les aigus, seuls les médiums sont confiés à une armature équilibrée.
A l’intérieur du boîtier en oxyde de zirconium se trouve donc un second boitier en magnésium ou sont implantés dans le même axe la membrane de 12 mm et devant elle le tweeter de 5mm un peu sur le modèle d’un haut parleur coaxial. L’armature équilibrée est située au dessous.
A l’arrière un filtre 3 voies qui rappelle vraiment ce qui s’utilise sur des enceintes acoustiques.
Le poids de chaque intra est de 26 g
La mise en place:
j’ai lu beaucoup de choses sur la taille, le poids, le confort et le fit de ces intras. J’ai donc été très agréablement surpris de constater qu’avec une paire de Spinfit L le fit était parfait chez moi tout comme le confort sur de longues cessions ou j’ai l’impression que les Sony sont suspendus dans l’air et se font presque totalement oublier. A noter que j’ai utilisé le câble stock avec connecteurs MMCX et l’Hugo2Go en lecteur.
Les écoutes:
en faisant un petit retour en arrière peu de paires d’intras m’ont emballées à la première écoute. Il y a eu les Flamenco, les Shure 1500, les Audeze Lcdi4 et les UE 18 pro gen 2. Je vais donc rajouter à cette petite liste les Sony IER Z1R.
J’ai écouté essentiellement du classique, du jazz et de la variété.
Je commence souvent mes écoutes par cet enregistrement parfaitement réussi de la sonate pour Arpeggione:
Des les premières notes j’ai compris que je n’étais pas en présence d’une paire classique comme beaucoup que j’ai essayées.
La première impression est celle d’une absence de limitation ni vers le haut ni vers le bas, pas de plafond de verre comme sur une paire essayée récemment. Les notes s’envolent dans l’air et sur les côtés sans que leur extinction soit brutalement arrêtée par un mur virtuel. Il en ressort une très grande aération dans la restitution sonore. Ça respire très bien, sans aucun effet de compression.
La deuxième impression est celle d’une véritable justesse des timbres du piano et du violon. L’extension du piano dans le grave est surprenante venant d’une paire d’intras et la montée vers le haut du piano et du violon est d’un naturel et d’une facilité également peu commune, de mémoire sur ce type de transducteur.
Je n’irais pas jusqu’à dire que je re découvre cet enregistrement mais je ne suis pas frustré par rapport à mes écoutes au casque ce qui est déjà très bien.
Même sensation sur le 4 eme mouvement du trio Dumky:
Restitution très musicale, sans limitation apparente dans la dynamique, l’extension vers le bas ou le haut. L’image est assez réaliste, les notes sont pleines, leur extinction va jusqu’au bout, bref pas grand chose à critiquer même en cherchant bien.
Magnifique interprétation de cette adaptation pour quatuor à cordes de la flûte enchantée que je vous conseille:
Une fois de plus les Sony ne pâlissent pas sur cet enregistrement ou les variations de dynamique sont importantes et les timbres des 4 instruments assez proches. Et bien ça passe sans acidité, sans dureté et au final sans difficulté. Très musical, les pics de dynamiques sont bien restitués. L’engagement des musiciennes est palpable et rien ne se mélange jamais.
Sur des masses instrumentales plus importantes: 1 er concerto pour piano de Beethoven:
On arrive là à limite de ce que peuvent proposer une bonne paire d’intras par rapport à un bon casque ouvert à part peut être avec les lcdi4. Les Sony ne dérogent pas à la règle. On retrouve à nouveau ce manque de respiration, d’espace, d’aération et un effet de compression sur les montées en puissance de la masse orchestrale par rapport au casque.
Le piano tire son épingle du jeu mais le reste n’est pas crédible.
Cela se vérifie sur toutes les symphonies et concertos que j’ai essayé et cela quelque soit la qualité de l’enregistrement.
Sur de l’opéra bien enregistré c’est nettement mieux car l’orchestre situé dans une fosse donne la réplique aux chanteurs sur scène et le placement de l’orchestre n’est pas pas celui d’un orchestre symphonique. Sur ce très bel enregistrement de Tosca on se laisse complètement emporter par l’image sonore, le relief et la présence des voix, la restitution de l’orchestre, très imposant grâce au registre grave mais qui sait mettre les chanteurs en valeur. J’étais parti pour le « Ah finalmente! » et me suis laissé entraîner jusqu’à la fin du premier acte. Très agréablement surpris par les montées en puissance notamment des voix qui se font avec une aisance et une facilité que j’avais rarement entendu su ce type de transducteur.
Sur du jazz:
Les Sony trouvent leur terrain de prédilection. C’est vraiment très bon. Les graves sont surprenants et de mémoire les meilleurs entendus sus des intras. Je ne pense pas que les Legend X ou les Hyla CE5 puissent rivaliser. On est sur un grave surpuissant, extrêmement dynamique et précis, qui reste bien en place, qui cogne quand il faut, descend très bas et vous en mets plein la tête. Le reste ne démérite pas, c’est une explosion de timbres et de micro détails. C’est très rapide, très dynamique et en même temps très maîtrisé. Ça file à 200 à l’heure sans jamais broncher.
Également parfait: tout y est, la vivacité et la présence de la guitare de Kenny burrell, la puissance veloutée du saxophone ténor de Stanley Turrentine ou la belle sensation de la peau tendue des congas de Ray Barreto.
Également très bien rendue, l’ambiance du concert, l’espace, l’image, la trompette d’Ibrahim Maalouf, le rendu imposant des percussions, les chants et applaudissements du public.
Autant je reste réservé sur la reproduction de grandes formations orchestrales classiques, autant mes réserves s’estompent un peu sur un big band comme celui de Count Basie. On n’est pas sur la restitution d’un casque comme le D8000 par exemple mais l’équilibre sonore, l’image et la dynamique sont la. Par rapport au D8000 manque le souffle et cette impression de masse sonore mieux reproduite au casque.
Même constatation sur la sonate au clair de lune version Avishai Cohen que sur le live de Maalouf: la trompette est bien timbrée, les notes flottent dans l’air. Le plus impressionnant est une fois de plus la guitare basse et la grosse caisse avec un grave qui rappelle vraiment plus ce que l’on entends sur des casques type D8000 que sur un paire d’intras. Le grave occupe l’espace, assise surprenante et imposante avec l’impression d’une grande réserve de puissance et de dynamique: la force tranquille.
Enregistrement public de chick Corea accompagnant au piano la voix de Bobby mc Ferrin. Les Sony ne déméritent pas, ambiance bien rendue, belles nuances de la voix pas évident avec toutes les onomatopées à la michel Legrand sur Autumn Leaves par exemple. Piano aérien, très dynamique et fluide. Ça passe très bien sur ces intras.
Amusant d’entendre comment une paire d’intras est capable re recréer une ambiance de concert en plein air. C’est pour moi très réussi car contrairement à ce que j’ai pu entendre sur beaucoup de paires d’intras mais également certains casques les voix sont proches et parfaitement articulées, la partie instrumentale un peu en retrait et très lisible avec toujours un grave imposant et surprenant à chaque note et enfin les manifestations du public qui donnent la mesure de l’environnement. C’est moins laidback que sur l’Empyrean par exemple et sur ce type d’enregistrement c’est plus convaincant.
Typiquement ce qui passe très bien sur les Sony, rien à dire, tout est en place, crédible et très musical. La restitution de la voix d’Henri Salvador me rappelle les UE18 pro, avec ce grain si particulier.
Ce type d’enregistrement passe également très bien: très musical, registre grave superlatif en impact et rapidité, belle image sonore.
J’ai passé en revue beaucoup d’enregistrements anciens et récents d’un peu tout avec à chaque fois 3 qualités qui se détachent: une grande musicalité, une belle image sonore, un registre grave superlatif.
En conclusion:
les IER Z1R sont pour mes goûts une très bonne paire d’intras universel.
Les plus:
-La fabrication digne d’une grande marque comme Sony
-La conception hybride 3 voix originale, faisant appel à 2 membranes de 12mm et 5 mm comme ce que l’on trouve sur des casques ou enceintes.
- la restitution qui est à la hauteur des espérances, très musicale, offrant une belle image sonore, très réaliste sur certains genres musicaux et avec un grave pour moi jamais entendu sur ce type de transducteur.
Les moins:
-La difficulté à reproduire avec crédibilité de grandes masses orchestrales classiques.
-le prix au dessus de 1800€ qui fait cher pour ce genre de transducteur.
Ayant eu l’occasion d’en acquérir une paire récemment je vous livre un petit retour de mes impressions, du déballage aux écoutes.
Le déballage:
Les Sony IER Z1R sont donc livrés dans un emballage assez luxueux type coffret à bijoux. Au premier étage la paire d’écouteurs que Sony aime appeler casque et au dernier un grands choix d’embouts de toutes tailles.
Entre: 2 tiroirs pour les 2 câbles: l’un en 3,5mm et l’autre en 4,4mm format de la marque Sony et qu’elle utilise notamment sur ses baladeurs 1A et 1Z.
La fabrication:
comme tout produit Sony la fabrication est superlative dans sa finition. Le boîtier est en alliage de zirconium ce qui est déjà exceptionnel en soit et renferme un système hybride 3 voies: un diaphragme de 12 mm de diamètre dédié aux basses fréquences, un transducteur à armature équilibrée pour les médiums et un super tweeter de 5 mm de diamètre. On est donc dans quelque chose d’assez rare en matière d’intras: l’utilisation de membranes identiques à celles utilisées sur les casques pour les graves et les aigus, seuls les médiums sont confiés à une armature équilibrée.
A l’intérieur du boîtier en oxyde de zirconium se trouve donc un second boitier en magnésium ou sont implantés dans le même axe la membrane de 12 mm et devant elle le tweeter de 5mm un peu sur le modèle d’un haut parleur coaxial. L’armature équilibrée est située au dessous.
A l’arrière un filtre 3 voies qui rappelle vraiment ce qui s’utilise sur des enceintes acoustiques.
Le poids de chaque intra est de 26 g
La mise en place:
j’ai lu beaucoup de choses sur la taille, le poids, le confort et le fit de ces intras. J’ai donc été très agréablement surpris de constater qu’avec une paire de Spinfit L le fit était parfait chez moi tout comme le confort sur de longues cessions ou j’ai l’impression que les Sony sont suspendus dans l’air et se font presque totalement oublier. A noter que j’ai utilisé le câble stock avec connecteurs MMCX et l’Hugo2Go en lecteur.
Les écoutes:
en faisant un petit retour en arrière peu de paires d’intras m’ont emballées à la première écoute. Il y a eu les Flamenco, les Shure 1500, les Audeze Lcdi4 et les UE 18 pro gen 2. Je vais donc rajouter à cette petite liste les Sony IER Z1R.
J’ai écouté essentiellement du classique, du jazz et de la variété.
Je commence souvent mes écoutes par cet enregistrement parfaitement réussi de la sonate pour Arpeggione:
Des les premières notes j’ai compris que je n’étais pas en présence d’une paire classique comme beaucoup que j’ai essayées.
La première impression est celle d’une absence de limitation ni vers le haut ni vers le bas, pas de plafond de verre comme sur une paire essayée récemment. Les notes s’envolent dans l’air et sur les côtés sans que leur extinction soit brutalement arrêtée par un mur virtuel. Il en ressort une très grande aération dans la restitution sonore. Ça respire très bien, sans aucun effet de compression.
La deuxième impression est celle d’une véritable justesse des timbres du piano et du violon. L’extension du piano dans le grave est surprenante venant d’une paire d’intras et la montée vers le haut du piano et du violon est d’un naturel et d’une facilité également peu commune, de mémoire sur ce type de transducteur.
Je n’irais pas jusqu’à dire que je re découvre cet enregistrement mais je ne suis pas frustré par rapport à mes écoutes au casque ce qui est déjà très bien.
Même sensation sur le 4 eme mouvement du trio Dumky:
Restitution très musicale, sans limitation apparente dans la dynamique, l’extension vers le bas ou le haut. L’image est assez réaliste, les notes sont pleines, leur extinction va jusqu’au bout, bref pas grand chose à critiquer même en cherchant bien.
Magnifique interprétation de cette adaptation pour quatuor à cordes de la flûte enchantée que je vous conseille:
Une fois de plus les Sony ne pâlissent pas sur cet enregistrement ou les variations de dynamique sont importantes et les timbres des 4 instruments assez proches. Et bien ça passe sans acidité, sans dureté et au final sans difficulté. Très musical, les pics de dynamiques sont bien restitués. L’engagement des musiciennes est palpable et rien ne se mélange jamais.
Sur des masses instrumentales plus importantes: 1 er concerto pour piano de Beethoven:
On arrive là à limite de ce que peuvent proposer une bonne paire d’intras par rapport à un bon casque ouvert à part peut être avec les lcdi4. Les Sony ne dérogent pas à la règle. On retrouve à nouveau ce manque de respiration, d’espace, d’aération et un effet de compression sur les montées en puissance de la masse orchestrale par rapport au casque.
Le piano tire son épingle du jeu mais le reste n’est pas crédible.
Cela se vérifie sur toutes les symphonies et concertos que j’ai essayé et cela quelque soit la qualité de l’enregistrement.
Sur de l’opéra bien enregistré c’est nettement mieux car l’orchestre situé dans une fosse donne la réplique aux chanteurs sur scène et le placement de l’orchestre n’est pas pas celui d’un orchestre symphonique. Sur ce très bel enregistrement de Tosca on se laisse complètement emporter par l’image sonore, le relief et la présence des voix, la restitution de l’orchestre, très imposant grâce au registre grave mais qui sait mettre les chanteurs en valeur. J’étais parti pour le « Ah finalmente! » et me suis laissé entraîner jusqu’à la fin du premier acte. Très agréablement surpris par les montées en puissance notamment des voix qui se font avec une aisance et une facilité que j’avais rarement entendu su ce type de transducteur.
Sur du jazz:
Les Sony trouvent leur terrain de prédilection. C’est vraiment très bon. Les graves sont surprenants et de mémoire les meilleurs entendus sus des intras. Je ne pense pas que les Legend X ou les Hyla CE5 puissent rivaliser. On est sur un grave surpuissant, extrêmement dynamique et précis, qui reste bien en place, qui cogne quand il faut, descend très bas et vous en mets plein la tête. Le reste ne démérite pas, c’est une explosion de timbres et de micro détails. C’est très rapide, très dynamique et en même temps très maîtrisé. Ça file à 200 à l’heure sans jamais broncher.
Également parfait: tout y est, la vivacité et la présence de la guitare de Kenny burrell, la puissance veloutée du saxophone ténor de Stanley Turrentine ou la belle sensation de la peau tendue des congas de Ray Barreto.
Également très bien rendue, l’ambiance du concert, l’espace, l’image, la trompette d’Ibrahim Maalouf, le rendu imposant des percussions, les chants et applaudissements du public.
Autant je reste réservé sur la reproduction de grandes formations orchestrales classiques, autant mes réserves s’estompent un peu sur un big band comme celui de Count Basie. On n’est pas sur la restitution d’un casque comme le D8000 par exemple mais l’équilibre sonore, l’image et la dynamique sont la. Par rapport au D8000 manque le souffle et cette impression de masse sonore mieux reproduite au casque.
Même constatation sur la sonate au clair de lune version Avishai Cohen que sur le live de Maalouf: la trompette est bien timbrée, les notes flottent dans l’air. Le plus impressionnant est une fois de plus la guitare basse et la grosse caisse avec un grave qui rappelle vraiment plus ce que l’on entends sur des casques type D8000 que sur un paire d’intras. Le grave occupe l’espace, assise surprenante et imposante avec l’impression d’une grande réserve de puissance et de dynamique: la force tranquille.
Enregistrement public de chick Corea accompagnant au piano la voix de Bobby mc Ferrin. Les Sony ne déméritent pas, ambiance bien rendue, belles nuances de la voix pas évident avec toutes les onomatopées à la michel Legrand sur Autumn Leaves par exemple. Piano aérien, très dynamique et fluide. Ça passe très bien sur ces intras.
Amusant d’entendre comment une paire d’intras est capable re recréer une ambiance de concert en plein air. C’est pour moi très réussi car contrairement à ce que j’ai pu entendre sur beaucoup de paires d’intras mais également certains casques les voix sont proches et parfaitement articulées, la partie instrumentale un peu en retrait et très lisible avec toujours un grave imposant et surprenant à chaque note et enfin les manifestations du public qui donnent la mesure de l’environnement. C’est moins laidback que sur l’Empyrean par exemple et sur ce type d’enregistrement c’est plus convaincant.
Typiquement ce qui passe très bien sur les Sony, rien à dire, tout est en place, crédible et très musical. La restitution de la voix d’Henri Salvador me rappelle les UE18 pro, avec ce grain si particulier.
Ce type d’enregistrement passe également très bien: très musical, registre grave superlatif en impact et rapidité, belle image sonore.
J’ai passé en revue beaucoup d’enregistrements anciens et récents d’un peu tout avec à chaque fois 3 qualités qui se détachent: une grande musicalité, une belle image sonore, un registre grave superlatif.
En conclusion:
les IER Z1R sont pour mes goûts une très bonne paire d’intras universel.
Les plus:
-La fabrication digne d’une grande marque comme Sony
-La conception hybride 3 voix originale, faisant appel à 2 membranes de 12mm et 5 mm comme ce que l’on trouve sur des casques ou enceintes.
- la restitution qui est à la hauteur des espérances, très musicale, offrant une belle image sonore, très réaliste sur certains genres musicaux et avec un grave pour moi jamais entendu sur ce type de transducteur.
Les moins:
-La difficulté à reproduire avec crédibilité de grandes masses orchestrales classiques.
-le prix au dessus de 1800€ qui fait cher pour ce genre de transducteur.