Il parle de cela avec le contexte du livre : c'est une planète où le vent souffle en continue, pas une tempête, pas un orage, pas une tornade... mais un vent constant dans une sorte de "couloir", un tunnel géographique en quelque sorte. Une lutte continue, pas l'affrontement du tempête soudaine avec des bourrasques et des éclairs.Lucius a écrit :Hélas le dessinateur ne semble pas à la hauteur de la virtuosité du bouquin. Il m'a refroidit quand il dit "il n'y a que deux façon de representer le vent!"
http://www.lahordeducontrevent.org/resume.html
Bref, le contexte est assez particulier. Qui explique (en partie) son propos, je pense, pour bien connaitre le livre.Imaginez une Terre poncée, avec en son centre une bande de cinq mille kilomètres de large et sur ses franges un miroir de glace à peine rayable, inhabité. Imaginez qu’un vent féroce en rince la surface. Que les villages qui s’y sont accrochés, avec leurs maisons en goutte d’eau, les chars à voile qui la strient, les airpailleurs debout en plein flot, tous résistent. Imaginez qu’en Extrême-Aval ait été formé un bloc d’élite d’une vingtaine d’enfants aptes à remonter au cran, rafale en gueule, leur vie durant, le vent jusqu’à sa source, à ce jour jamais atteinte : l’Extrême-Amont.
Mon nom est Sov Strochnis, scribe. Mon nom est Caracole le troubadour et Oroshi Melicerte, aéromaître. Je m’appelle aussi Golgoth, traceur de la Horde, Arval l’éclaireur et parfois même Larco lorsque je braconne l’azur à la cage volante. Ensemble, nous formons la Horde du Contrevent. Il en a existé trente-trois en huit siècles, toutes infructueuses. Je vous parle au nom de la trente-quatrième : sans doute l’ultime.
Lucius a écrit : Je garde un souvenir énorme de UWOne et son tome un avec la traversée du mur!! J'y ressentais vraiment la sensation vertigineuse de réaliser un exploit aussi fou! Et ce n'est qu'un exemple parmis tant d'autre au cour des six tomes.
Je ne peux qu'être d'accord là !