[Musique] l'électro

[Climax]

[woophie]

@Superkalou ça peut t'intéresser même si c'est pas vraiment proche de Delerium / Conjure One
Daniel Myer est derrière le side project Architect, les autres albums ne sont pas comme celui - ci

[Superkalou]

[mention]Superkalou[/mention] ça peut t'intéresser même si c'est pas vraiment proche de Delerium / Conjure One
Daniel Myer est derrière le side project Architect, les autres albums ne sont pas comme celui - ci

Merci bcp woophie !

Ça m’a l’air pas mal en effet et j’ai ma playlist toute trouvée pour mon trajet de vacances cet aprèm

[DarkZunicorn]

[Climax]

[Climax]

[woophie]

le retour d'un peu de synthwave avec le nouvel LP de New Arcades.

[Climax]

[Climax]

[Climax]

[DarkZunicorn]

Soixante-six et soixante-huit ans... J'suis à genoux.



L'épaisseur hallucinante des textures, le moirage quasi infini du groove et puis l'énergie, l'énergie, l'énergie... Ouah !
La joie sans limite.
Ils n'ont absolument plus rien à prouver et voilà au moins dix ans que Karl Hyde (le chanteur) a confié avoir mis toute sa famille à l'abri du besoin. Non : ils jouent pour le pur plaisir (et la complicité, of course), pour le fun, pour le partage...


Mercredi 3 septembre...



D'une profondeur délicieuse sur les Tangzu Zetian Wu The Legend...


Jeudi 4 septembre...



L'art moscovite du sound design dans toute sa splendeur...
La discographie complète du groupe sur bandcamp est actuellement à moitié prix : https://doyeq.bandcamp.com/

[DarkZunicorn]

Et je reviens à Underworld, encore et toujours...

[woophie]

un peu de dark ambiant, de néo folk, dungeon synth et industriel, d'autres albums sont disponibles.
c'est bien de faire commencer par la dernière piste, donc << Soyez sympas, rembobinez >>

[woophie]

Rhys Fulber (FLA, Delerium, Conjure One), revient avec son projet solo, orienté techno

Je ne vous impose pas la petite chronique dispensable que j'ai écrite.

La plupart des mélodies présentées et leur « ossature thématique » avaient été enregistrées par Fulber dans une version préliminaire au cours de ses premières années, sur du vieux matériel analogique. De plus, la plupart des « brouillons » avaient été créés sous forme d'improvisations et de sessions de jam en studio.

Et voilà que, des décennies plus tard, ces « manuscrits » sonores ont de nouveau attiré l'attention du producteur canadien. Mais cette fois, ils ont été « révisés », réenregistrés et peaufinés en mettant l'accent sur des méthodes de composition plus modernes.

On peut désormais affirmer que, d'une certaine manière, RHYS FULBER trouve un équilibre conceptuel entre la nostalgie et les paradigmes plus modernes de la musique électronique.

Comme le dit l'auteur lui-même : « Je considère que la musique est un art étroitement lié à l'histoire, c'est pourquoi il est important d'y utiliser des éléments qui marquent une époque particulière »

les cinq premiers morceaux sont plutôt une ode au futurepop technique et intelligent à l'ancienne, dans l'esprit de COVENANT, avec un tempo mobile, une dramaturgie et une légère légèreté transcendante.

Il y a une certaine élégance et une absence de surcharge, tandis que les chanteurs invités ajoutent une émotion et une profondeur supplémentaires aux compositions.

Quant à la deuxième moitié... On pourrait la décrire comme « le vrai Fulber incarné », avec son goût prononcé pour les formes instrumentales de style rétro.

Heureusement pour moi, il n'y a pratiquement pas de techno typique de la fin de Fulber, et les « boucles » monotones répétitives et obsédantes sont réduites au minimum. Et là où il y a des séquences techno similaires, il y a quand même soit des accents synthétiques, soit des syncopes diluées dans les rythmes.

Le déploiement commence dès « New Despotism », où Fulber évoque à la fois les époques de FRONT LINE ASSEMBLY et de PORTION CONTROL, présentant un thriller électro-industriel brut et énergique.

Ensuite, sur « All Of You Go To Heaven », Fulber revient à la version SKINNY PUPPY et l'esprit de Kevin Key s'installe dans son esprit. Une esquisse nostalgique très agréable avec une touche old school de DJ et disco.

Mais ensuite, le Canadien déchire tout avec ses mouvements sur « The Elder », car il fait une référence évidente à la musique tracker old school. Mais qu'importe : il utilise simplement les mêmes synthés que ceux qu'Alexander Brandon a utilisés pour enregistrer l'original Deus Ex ! Ici, même le contenu musical passe au second plan face à de telles techniques.

Les deux derniers morceaux, « Baaderzeit » et « Further Back and Forward », sont plus simples, mais toujours exécutés dans le même style. D'ailleurs, dans ces compositions, l'inspiration de Fulber TANGERINE DREAM me semble un peu plus perceptible, tant les timbres des synthétiseurs « Roland » sont similaires.

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d'un Canadien à un autre, une deuxième chronique dispensable du dernier Comaduster.

Le compositeur, interprète et concepteur sonore Real Cardinal, cerveau et unique membre de COMADUSTER, a présenté son nouvel album intitulé « Memory Echoes ».

Le Canadien faisait partie de l'équipe de concepteurs sonores qui a travaillé sur le jeu vidéo Mass Effect 2.

Et chaque album de COMADUSTER, depuis 2013, est une histoire de science-fiction recréée en son. Avec son charme particulier et son récit inhabituel et original.

« Memory Echoes », comme son titre l'indique indirectement, marque le retour musical de COMADUSTER à ses racines, oui, formule facile..

On aurait envie de qualifier sa musique d'« électronique industrielle intelligente », mais les mots nous manquent. Pour certains, ses mélodies sont assez grossières, et pour d'autres, il fait preuve d'une sentimentalité instrumentale suffisante. Mais comme alternative, on peut le présenter comme un aventurier musical.

Selon la norme, l'impulsion instrumentale des compositions est donnée par des attaques IDM qui semblent tirées du catalogue ACCESS TO ARASAKA. Mais elles sont fortement rechargées et fonctionnent en même temps avec des percussions déformées, ce qui rappelle la fonctionnalité de LUCIDSTATIC.

Dans ce tourbillon de glitches et de distorsions, les syncopes et les changements brusques abondent, mais en même temps, sous cette couche chaotique se cache toujours une ligne mélodique principale qui finira tôt ou tard par se révéler.

Sur le nouvel album, on entend également de nombreuses solutions << unplugged >> de Real dans les arrangements. Et en effet, l'acoustique s'intègre assez naturellement dans l'environnement numérique, clairement pour renforcer la dramaturgie.

COMADUSTER est assez expérimental et éclectique, mais en tant qu'auteur musical, il ne se vante pas de sa grandiloquence et de son élitisme. Il peut organiser une longue attaque breakcore avec des guitares gentilles pendant une minute et demie, mais il peut aussi mettre en avant un simple synthpop avec des émotions pures et non diluées.

J'ai lu quelque part que COMADUSTER était comme une synthwave fortement mutée et déformée, dont on aurait effacé la sentimentalité et la nostalgie. Je suis en partie d'accord, mais j'ai l'impression que le projet est beaucoup plus profond et moins banal que le romantisme synthétique des années 80.

Ce n'est pas de la musique électronique pour tous les jours, ou pour moi toutes les nuits.