Bla bla bla bl... vous avez compris.
Bravo, tu vas déclencher un débat périlleux à toi tout seul.
Edit : hm apparemment lorsqu'on a un nom composé avec nom + adjectif, les deux s'accordent. Vous validez ?
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- DarkZunicorn
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Le nom "haut-médium" n'étant pas encore répertorié par l'Académie, tu peux inventer son pluriel comme tu le veux. Et celui des mots composés avec l'adjectif "haut" inscrits au dictionnaire de cette vénérable institution est lui-même variable : il faut ainsi écrire des "haut-parleurs" mais des "hauts-fonds", etc...Karrthus a écrit :Question stupide du jour => Faut-il écrire des « haut-médiums » ou des « hauts-médiums » ?
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Pioneer U-05-S → Geshelli Erish → Fostex TH-610 avec Lunashops LN008324 XLR4 et bonnettes d'origine
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Quand on n'est pas doué en ortho/grammaire, on s'adapte ! (je parle pour moi ).LeFaucon a écrit :Excellent !kookaburra a écrit :Des bas-aigus.
Pas de doute comme ça. ^-^
Un peu gros, mais Focal Listen BT ?
- Yack
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Je cherche vraiment quelque chose de peu coûteux. En dessous des 50€. J'ai repéré un JBL sur amazon. La recherche continue...
(Effectivement, le volatile, deux pots de yaourts me reviendrai moins cher...).
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- Yack
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Bien vu le Faucon. Pas mal du tout ça. Mais suite à ta remarque, je commence à avoir de gros doutes sur l'innocuité du Bluetooth au niveau de la tête du gamin... Même si l'usage sera très modéré, ça m'inquiète un peu.
Faut surtout se demander qu'elle va être la quantité de rayonnement du BT par rapport aux ondes auxquels il est déjà soumis au quotidien par les appareils qui l'entourent déjà en permanence : WiFi, 3G/4G, lignes à haute-tension,... L'avis de l'OMS à ce sujet : https://www.who.int/peh-emf/about/Whati ... ndex1.htmlYack a écrit :Mais suite à ta remarque, je commence à avoir de gros doutes sur l'innocuité du Bluetooth au niveau de la tête du gamin... Même si l'usage sera très modéré, ça m'inquiète un peu.
Conclusions tirées de la recherche scientifique
Au cours des 30 dernières années, environ 25 000 articles scientifiques ont été publiés sur les effets biologiques et les applications médicales des rayonnements non ionisants. Certains peuvent penser que cet effort de recherche est encore insuffisant, mais les connaissances scientifiques acquises dans ce domaine sont désormais plus complètes que celles que l'on possède sur la plupart des produits chimiques. S'appuyant sur un examen approfondi de la littérature scientifique, l'OMS a conclu que les données actuelles ne confirment en aucun cas l'existence d'effets sanitaires résultant d'une exposition à des champs électromagnétiques de faible intensité. Toutefois, notre connaissance des effets biologiques de ces champs comporte encore certaines lacunes et la recherche doit se poursuivre pour les combler.
Il faut bien avoir en tête que les niveaux d'exposition en question sont très trés faibles et sans effets prouvés malgré les 25.000 études scientifiques sur le sujet... D'autant plus quand on parle d'un appareil récepteur et non émetteur d'ondes, comme dans le cas d'un casque.Les grands axes actuels et futurs de la recherche
On fait actuellement un grand effort de recherche afin d'étudier la relation entre l'exposition aux champs électromagnétiques et le cancer. Des études se poursuivent en particulier -encore qu'à un rythme moins soutenu qu'à la fin des années 1990 - pour tenter de déterminer si les champs engendrés par les lignes électriques sont susceptibles d'avoir des effets cancérogènes, c'est-à-dire de causer des cancers.
Les effets sanitaires à long terme des téléphones portables suscitent également des recherches très actives. Jusqu'ici, aucun effet sanitaire indésirable imputable à une faible exposition à des radiofréquences n'a été mis en évidence. Toutefois, comme le public est préoccupé par la sécurité des téléphones portables, la recherche va s'efforcer de déterminer si des effets moins évidents ne pourraient pas malgré tout résulter de niveaux d'exposition très faibles.
Points à retenir :
Toutes sortes de facteurs environnementaux sont capables de produire des effets biologiques. " Effet biologique " n'est pas synonyme de " danger pour la santé". Des recherches spéciales sont nécessaires pour identifier et évaluer les dangers qui menacent la santé.
A basse fréquence, les champs électriques et magnétiques extérieurs engendrent des courants de faible intensité qui circulent dans l'organisme. Dans l'environnement habituel, l'intensité de ces courants induits dans l'organisme est pratiquement toujours trop faible pour avoir des effets marqués.
Le principal effet des radiofréquences est un échauffement des tissus exposés.
Il est indubitable qu'une exposition de courte durée à des champs électromagnétiques très intenses peut être dangereuse pour la santé. Les craintes qui se manifestent dans le public concernent surtout les éventuels effets à long terme que pourrait avoir une exposition à des champs électromagnétiques d'intensité inférieure au seuil d'apparition de réactions biologiques aiguës.
Le Projet international pour l'étude des champs électromagnétiques a été lancé par l'OMS dans le but d'apporter une réponse objective et scientifiquement validée aux préoccupations du public à l'égard des dangers que pourrait comporter l'exposition à des champs électromagnétiques de faible intensité.
Malgré de nombreuses recherches, rien n'indique pour l'instant que l'exposition à des champs électromagnétiques de faible intensité soit dangereuse pour la santé humaine.
Au niveau international, la recherche porte principalement sur l'étude des liens qui pourraient exister entre certains cancers et les champs électromagnétiques produits par les lignes électriques ou les générateurs de radiofréquences.
En la matière, on peut constater qu'il y a beaucoup plus de
C’est marrant mais si tu avais choisi de mettre certains autres passages en gras, on arriverait à des conclusions inverses (par exemple la dernière phrase de ton premier quote, juste après ta sélection).
Et puis, assimiler un principe de précaution à de la superstition, tu y vas fort.
Et puis, assimiler un principe de précaution à de la superstition, tu y vas fort.
J'enlève le gras, pas de souci. Et je change en "peurs", le mot était mal choisi tu as raison.
25.000 études scientifiques et l'OMS dit "S'appuyant sur un examen approfondi de la littérature scientifique, l'OMS a conclu que les données actuelles ne confirment en aucun cas l'existence d'effets sanitaires résultant d'une exposition à des champs électromagnétiques de faible intensité" ou encore "Malgré de nombreuses recherches, rien n'indique pour l'instant que l'exposition à des champs électromagnétiques de faible intensité soit dangereuse pour la santé humaine." Chacun en fera ce qu'il veut.
L'OMS dit qu'il faut poursuivre les études sur les hautes intensités ("Au niveau international, la recherche porte principalement sur l'étude des liens qui pourraient exister entre certains cancers et les champs électromagnétiques produits par les lignes électriques ou les générateurs de radiofréquences."), et que pour les faibles intensités, largement documentées, il y a pratiquement plus de doutes sur le sujet. Si j'ai bien compris, évidemment.
Le principe de précaution n'autorise pas à dire des choses fausses (aka "c'est nocif donc faut pas s'en servir" comme je l'ai déjà lu ici ou ailleurs).
25.000 études scientifiques et l'OMS dit "S'appuyant sur un examen approfondi de la littérature scientifique, l'OMS a conclu que les données actuelles ne confirment en aucun cas l'existence d'effets sanitaires résultant d'une exposition à des champs électromagnétiques de faible intensité" ou encore "Malgré de nombreuses recherches, rien n'indique pour l'instant que l'exposition à des champs électromagnétiques de faible intensité soit dangereuse pour la santé humaine." Chacun en fera ce qu'il veut.
L'OMS dit qu'il faut poursuivre les études sur les hautes intensités ("Au niveau international, la recherche porte principalement sur l'étude des liens qui pourraient exister entre certains cancers et les champs électromagnétiques produits par les lignes électriques ou les générateurs de radiofréquences."), et que pour les faibles intensités, largement documentées, il y a pratiquement plus de doutes sur le sujet. Si j'ai bien compris, évidemment.
Le principe de précaution n'autorise pas à dire des choses fausses (aka "c'est nocif donc faut pas s'en servir" comme je l'ai déjà lu ici ou ailleurs).
Certes mais à l’inverse, ce n’est pas parce que la dangerosité n’a pas encore été prouvée qu’elle n’est pas possible.
D’où le principe de précaution, avec pour juge de paix pour chacun l’évaluation du ratio risque / récompense.
D’où le principe de précaution, avec pour juge de paix pour chacun l’évaluation du ratio risque / récompense.
Certes.ZeDuK a écrit :Certes mais à l’inverse, ce n’est pas parce que la dangerosité n’a pas encore été prouvée qu’elle n’est pas possible.
C'est aussi pour ça que j'ai montré la conclusion de l'OMS et non d'un quelconque lobby industriel (ou autre source "douteuse"), on peut espérer que les conclusions de l'OMS soient sérieuses et bien documentées, pour rassurer le monde entier sur un tel sujet.
Mais après 25.000 qui n'ont pas prouvées de nocivité, ça serait malheureux de se tromper quand même. Ou alors les effets doivent être très très limités et ponctuels, sinon on peut se dire qu'il y a un gros problème sur toutes les parutions scientifiques précédentes sur "les effets biologiques des rayonnements non ionisants" !
Édit : par principe de précaution, n'oubliez pas que les ondes concernées ne sont pas focalisées mais multi-directionnelles. Et que le casque n'émet pas d'ondes, il les reçoit, seulement, c'est l'émetteur qui est "potentiellement" dangereux, d'après ce principe. Quel que soit la personne qui utilise la 3G/4G / BT ou le WiFi dans la pièce, toutes les personnes présentes en absorbent la même quantité. Donc il ne faudrait utiliser aucun émetteur GSM/BT/WiFi pour protéger l'enfant en question (et non pas seulement ne pas lui acheter de casque BT personnel). Ou, faute de mieux, interdire à l'enfant de s'approcher des émetteurs de GSM/WiFi/BT et de ne pas jouer avec. Le BT n'étant pas forcément le plus puissant du lot...