
Edit : hm apparemment lorsqu'on a un nom composé avec nom + adjectif, les deux s'accordent. Vous validez ?
Le nom "haut-médium" n'étant pas encore répertorié par l'Académie, tu peux inventer son pluriel comme tu le veux. Et celui des mots composés avec l'adjectif "haut" inscrits au dictionnaire de cette vénérable institution est lui-même variable : il faut ainsi écrire des "haut-parleurs" mais des "hauts-fonds", etc...Karrthus a écrit :Question stupide du jour => Faut-il écrire des « haut-médiums » ou des « hauts-médiums » ?
Quand on n'est pas doué en ortho/grammaire, on s'adapte !LeFaucon a écrit :Excellent !kookaburra a écrit :Des bas-aigus.
Pas de doute comme ça. ^-^
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Faut surtout se demander qu'elle va être la quantité de rayonnement du BT par rapport aux ondes auxquels il est déjà soumis au quotidien par les appareils qui l'entourent déjà en permanence : WiFi, 3G/4G, lignes à haute-tension,... L'avis de l'OMS à ce sujet : https://www.who.int/peh-emf/about/Whati ... ndex1.htmlYack a écrit :Mais suite à ta remarque, je commence à avoir de gros doutes sur l'innocuité du Bluetooth au niveau de la tête du gamin... Même si l'usage sera très modéré, ça m'inquiète un peu.
Conclusions tirées de la recherche scientifique
Au cours des 30 dernières années, environ 25 000 articles scientifiques ont été publiés sur les effets biologiques et les applications médicales des rayonnements non ionisants. Certains peuvent penser que cet effort de recherche est encore insuffisant, mais les connaissances scientifiques acquises dans ce domaine sont désormais plus complètes que celles que l'on possède sur la plupart des produits chimiques. S'appuyant sur un examen approfondi de la littérature scientifique, l'OMS a conclu que les données actuelles ne confirment en aucun cas l'existence d'effets sanitaires résultant d'une exposition à des champs électromagnétiques de faible intensité. Toutefois, notre connaissance des effets biologiques de ces champs comporte encore certaines lacunes et la recherche doit se poursuivre pour les combler.
Il faut bien avoir en tête que les niveaux d'exposition en question sont très trés faibles et sans effets prouvés malgré les 25.000 études scientifiques sur le sujet... D'autant plus quand on parle d'un appareil récepteur et non émetteur d'ondes, comme dans le cas d'un casque.Les grands axes actuels et futurs de la recherche
On fait actuellement un grand effort de recherche afin d'étudier la relation entre l'exposition aux champs électromagnétiques et le cancer. Des études se poursuivent en particulier -encore qu'à un rythme moins soutenu qu'à la fin des années 1990 - pour tenter de déterminer si les champs engendrés par les lignes électriques sont susceptibles d'avoir des effets cancérogènes, c'est-à-dire de causer des cancers.
Les effets sanitaires à long terme des téléphones portables suscitent également des recherches très actives. Jusqu'ici, aucun effet sanitaire indésirable imputable à une faible exposition à des radiofréquences n'a été mis en évidence. Toutefois, comme le public est préoccupé par la sécurité des téléphones portables, la recherche va s'efforcer de déterminer si des effets moins évidents ne pourraient pas malgré tout résulter de niveaux d'exposition très faibles.
Points à retenir :
Toutes sortes de facteurs environnementaux sont capables de produire des effets biologiques. " Effet biologique " n'est pas synonyme de " danger pour la santé". Des recherches spéciales sont nécessaires pour identifier et évaluer les dangers qui menacent la santé.
A basse fréquence, les champs électriques et magnétiques extérieurs engendrent des courants de faible intensité qui circulent dans l'organisme. Dans l'environnement habituel, l'intensité de ces courants induits dans l'organisme est pratiquement toujours trop faible pour avoir des effets marqués.
Le principal effet des radiofréquences est un échauffement des tissus exposés.
Il est indubitable qu'une exposition de courte durée à des champs électromagnétiques très intenses peut être dangereuse pour la santé. Les craintes qui se manifestent dans le public concernent surtout les éventuels effets à long terme que pourrait avoir une exposition à des champs électromagnétiques d'intensité inférieure au seuil d'apparition de réactions biologiques aiguës.
Le Projet international pour l'étude des champs électromagnétiques a été lancé par l'OMS dans le but d'apporter une réponse objective et scientifiquement validée aux préoccupations du public à l'égard des dangers que pourrait comporter l'exposition à des champs électromagnétiques de faible intensité.
Malgré de nombreuses recherches, rien n'indique pour l'instant que l'exposition à des champs électromagnétiques de faible intensité soit dangereuse pour la santé humaine.
Au niveau international, la recherche porte principalement sur l'étude des liens qui pourraient exister entre certains cancers et les champs électromagnétiques produits par les lignes électriques ou les générateurs de radiofréquences.
Certes.ZeDuK a écrit :Certes mais à l’inverse, ce n’est pas parce que la dangerosité n’a pas encore été prouvée qu’elle n’est pas possible.