J'ai aussi été bluffé par The Rock qui je trouve s'en sort très bien dans ce rôle assez comique ! Je l'avais vraiment pas vu venir çamrpink a écrit :barz13 a écrit :Sinon hier "No Pain No Gain" avec Mark Whalberg et The Rock tiré d'une histoire vraie, le film est marrant et glauque en même temps, ça m'a donné envie de le revoir surtout que le film nous dit quand les scènes se sont réellement passé !
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_g ... 41005.html
J'ai bien aimé (Y)
Dwayne Johnson en costaud au cœur tendre (bien que complétement barré) est vraiment convaincant ^^
Par contre le film est un peu longuet.
Et mine de rien je salut l'audace de M.Bay qui monte dans mon estime.
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- barz13
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vu hier :
la méchante déception
alors oui c'est loin d'être vilain, le numérique est très bien utilisé et on oublie souvent que tout se passe sur fond vert (ma hantise, le genre de film à la 300) malheureusement c'est vachement chiant.
la 3d est aussi bien utilisée malgré ma mauvaise position en salle ce jour là et ma tendance à rapidement avoir mal aux yeux.
autre déception la sono, autre point fort supposé du film, quelque banals effets de saturation/silence mais rien de fantastique, on aurait pu faire tellement mieux dans ce contexte
j'ai l'impression que le réal n'a aucune notion du thriller, contrairement à ce que le trailer m'a laissé penser.
c'est dommage car sandra bullock s'en sort assez bien je trouve malgré un rôle mal écrit. puis les ficelles pathétiques sont beaucoup trop grosses pour qu'on puisse rentrer dans le jeu.
mais que cela me serve de leçon, ne pas se fier aux trailers et encore moins aux critiques qui nous balancent du "chef-d'œuvre", "claque monumentale" et autres "le nouveau 2001 l'odyssée de l'espace" à tout bout de champ.
heureusement le film n'est pas trop long et franchement visuellement sympathique, si vous aimez les belles images n'hésitez pas, et pour une fois la 3d vaut le coup à moins d'y être vraiment allergique.
la méchante déception
alors oui c'est loin d'être vilain, le numérique est très bien utilisé et on oublie souvent que tout se passe sur fond vert (ma hantise, le genre de film à la 300) malheureusement c'est vachement chiant.
la 3d est aussi bien utilisée malgré ma mauvaise position en salle ce jour là et ma tendance à rapidement avoir mal aux yeux.
autre déception la sono, autre point fort supposé du film, quelque banals effets de saturation/silence mais rien de fantastique, on aurait pu faire tellement mieux dans ce contexte
j'ai l'impression que le réal n'a aucune notion du thriller, contrairement à ce que le trailer m'a laissé penser.
c'est dommage car sandra bullock s'en sort assez bien je trouve malgré un rôle mal écrit. puis les ficelles pathétiques sont beaucoup trop grosses pour qu'on puisse rentrer dans le jeu.
mais que cela me serve de leçon, ne pas se fier aux trailers et encore moins aux critiques qui nous balancent du "chef-d'œuvre", "claque monumentale" et autres "le nouveau 2001 l'odyssée de l'espace" à tout bout de champ.
heureusement le film n'est pas trop long et franchement visuellement sympathique, si vous aimez les belles images n'hésitez pas, et pour une fois la 3d vaut le coup à moins d'y être vraiment allergique.
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SHARKNADO
Trop fort ! Déja rien que l'idée d'une tornade avec des requins c'était tellement énorme, mais alors les effets spéciaux les requins sont aussi bien fait que dans le film Batman qui date d'il y a 40 ans
Le scenario est digne des feux de l'amour, les dialogues aussi énorme que Premier Baiser et le final est juste stratosphérique, vraiment, si t'as pas vu ça t'as raté ta vie
Le meilleur nanar qui m'ait été donné de voir (avec Mortal Kombat 2)
Trop fort ! Déja rien que l'idée d'une tornade avec des requins c'était tellement énorme, mais alors les effets spéciaux les requins sont aussi bien fait que dans le film Batman qui date d'il y a 40 ans
Le scenario est digne des feux de l'amour, les dialogues aussi énorme que Premier Baiser et le final est juste stratosphérique, vraiment, si t'as pas vu ça t'as raté ta vie
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merci for the news !barz13 a écrit :Pour la blague, Mike Tyson et Lorie au casting du même film : http://www.allocine.fr/article/ficheart ... 26216.html
Ludmila, en film sur la prison j'ai beaucoup aimé Ombline avec Mélanie Thierry : http://www.allocine.fr/film/fichefilm_g ... 03981.html
C'est super glauque je l'ai vu 2 fois à canal+ et j'ai beaucoup aimé les émotions que procure ce film
La pianiste de Michael Haneke
Très bof, soit j'en attendais plus, plus dans la folie d'Isabelle Huppert, son penchant SM, ça s'embourbe sévère.
Enfin bon, Annie Girardot avait négocié la possibilité de bibiner pendant les scènes.
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Je crois que tous les films de Haneke que j'ai vus, sans exception, m'ont à la fois impressionné et paru très quelconques aussi.
Bizarre...
En fait, ses scénarios sont généralement d'une simplicité qui confine à la pauvreté et, à force, on se prend à douter de l'intelligence du monsieur. C'est certainement une illusion mais... quand même, derrière la beauté lugubre des images, la cruauté des cadrages, le rythme impitoyable du montage, je ne peux m'empêcher de sentir un bien grand vide, comme si Haneke, au fond, n'avait pas grand-chose à dire... ou alors un discours finalement très convenu (sur la violence, la société de consommation: on peut, par exemple, trouver Le Septième continent aussi hilarant qu'épouvantable, même si Haneke a toujours tout fait pour ne pas qu'on rie de ses films...)
Je souscris totalement à cette critique fine et précise de Funny Games par Jean-Claude Loiseau de Télérama (rapportée dans l'article de la Wiki consacré à Haneke):
Et pourtant, paradoxalement, j'ai toujours un petit frisson quand je mets un de ses films dans la fente de mon lecteur de DVD, comme si j'en attendais une révélation.
J'ai notamment Le Ruban blanc dans ma pile de films à voir. Eh bien, je me réjouis à l'avance de le visionner... tout en sachant qu'il va à la fois me mettre mal à l'aise et me décevoir!
Haeneke rend maso.
Autrement, j'ai vu il y a peu Beignets de tomates vertes, le tire-larmes américain de Jon Avnet.
J'ai passé un excellent moment.
Le film est pourtant bourré de clichés assez crispants, notamment sur le statut des femmes et les conditions de leur "libération" dans la classe moyenne américaine, mais il repose sur un scénario en or massif inspiré d'un roman qui doit certainement être excellent.
Les actrices sont épatantes, fort bien dirigées, et incarnent leur rôle avec un savant mélange de distanciation et de naïveté qui colle parfaitement au ton nostalgique de ce conte en images où amour et haine se combattent dans le théâtre d'ombres de la mémoire...
Une superbe histoire d'amitié, en tout cas, et ça, je trouve, c'est toujours plaisant.
Bizarre...
En fait, ses scénarios sont généralement d'une simplicité qui confine à la pauvreté et, à force, on se prend à douter de l'intelligence du monsieur. C'est certainement une illusion mais... quand même, derrière la beauté lugubre des images, la cruauté des cadrages, le rythme impitoyable du montage, je ne peux m'empêcher de sentir un bien grand vide, comme si Haneke, au fond, n'avait pas grand-chose à dire... ou alors un discours finalement très convenu (sur la violence, la société de consommation: on peut, par exemple, trouver Le Septième continent aussi hilarant qu'épouvantable, même si Haneke a toujours tout fait pour ne pas qu'on rie de ses films...)
Je souscris totalement à cette critique fine et précise de Funny Games par Jean-Claude Loiseau de Télérama (rapportée dans l'article de la Wiki consacré à Haneke):
"Calculé, malin, artificiel": c'est exactement ce que je pense aussi du cinéma de Haneke. Une absence d'implication au service d'une négation de la sensibilité et donc de l'intelligence; négation qui laisse, à terme, dans un état de catatonie impuissante.« [...] peut-on impunément filmer l'horreur sans prendre parti ? L'impassibilité qu'il revendique amène Haneke à un curieux choix esthétique : ce qu'on pourrait appeler la pornographie de l'épure. Prenez le plan de sept minutes où il filme, de loin, un gamin mort, une femme, couverte d'ecchymoses, qui sautille pour se libérer de ses liens et un homme qui éclate en sanglots convulsifs. Apparemment, c'est parfait : pas de sang, une caméra immobile ou presque (un léger panoramique). On est dans la dignité irréprochable. Sauf que cette dignité est fausse. Les longs plans fixes d'un Angelopolous ou d'un Tarkovski bouleverseraient par leur sincérité. Celui-là est calculé, malin, artificiel. L'impudence naît de cette pudeur forcée. La première règle d'un cinéaste qui se respecte, c'est la liberté qu'il laisse aux spectateurs d'aimer ou non les personnages. Ici, les personnages sont des marionnettes, et les spectateurs des cobayes de laboratoire. Sur l'écran, les deux meurtriers nous font des clins d'œil, pour nous rendre complices du plaisir qu'ils prennent à tuer. »
Et pourtant, paradoxalement, j'ai toujours un petit frisson quand je mets un de ses films dans la fente de mon lecteur de DVD, comme si j'en attendais une révélation.
J'ai notamment Le Ruban blanc dans ma pile de films à voir. Eh bien, je me réjouis à l'avance de le visionner... tout en sachant qu'il va à la fois me mettre mal à l'aise et me décevoir!
Haeneke rend maso.
Autrement, j'ai vu il y a peu Beignets de tomates vertes, le tire-larmes américain de Jon Avnet.
J'ai passé un excellent moment.
Le film est pourtant bourré de clichés assez crispants, notamment sur le statut des femmes et les conditions de leur "libération" dans la classe moyenne américaine, mais il repose sur un scénario en or massif inspiré d'un roman qui doit certainement être excellent.
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Le ruban blanc. Remonte-le sur le haut de ta pile de films à voir. Vraiment.
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Je plussoie. J'ai trouvé ce film morbidement passionnant. Donc j'ai aimé.
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OK, c'est noté.
Lol! Qu'est-ce que je disais...orgelspieler a écrit :J'ai trouvé ce film morbidement passionnant. Donc j'ai aimé.
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- Denis Gaudineau
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Je suis d'accord également pour dire que La pianiste est une bouse mais Le Ruban blanc, c'est de l'ordre du chef-d'oeuvre bergmanien. Un très bon film d'Haneke sur la société de consommation (comme tu en parlais), c'est Le Septième continent, un film quasi muet, assez court et psychiquement violent. J'ai maté des classiques que je n'avais jamais vus, de mon côté :
- John Borman : Delivrance (1972), bien oppressant et malsain et superbement joué ! On m'avait raconté toutefois plusieurs scènes, ça m'a un peu cassé le film...
- Francis Ford Coppola : Le Parrain I (1972) & II (1974), grosse claque, je m'attendais à des films un peu téléphonés et connus surtout pour leur casting de ouf mais c'est du grand art !
- Les frères Coen : Inside Llewyn Davis (2013), magnifique moment de vie d'une sorte de Pierre Richard triste du folk, c'est somptueusement filmé, le son est maîtrisé comme rarement, je le recommande vraiment beaucoup à ceux qui avaient bien accroché sur A serious man.
- John Borman : Delivrance (1972), bien oppressant et malsain et superbement joué ! On m'avait raconté toutefois plusieurs scènes, ça m'a un peu cassé le film...
- Francis Ford Coppola : Le Parrain I (1972) & II (1974), grosse claque, je m'attendais à des films un peu téléphonés et connus surtout pour leur casting de ouf mais c'est du grand art !
- Les frères Coen : Inside Llewyn Davis (2013), magnifique moment de vie d'une sorte de Pierre Richard triste du folk, c'est somptueusement filmé, le son est maîtrisé comme rarement, je le recommande vraiment beaucoup à ceux qui avaient bien accroché sur A serious man.
Donner, c'est donner, repeindre ses volets.
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J'ai vu unthinkable récemment (il y a deux heures) c'est un putain de film, dur mais intéressant :
(Pour ceux qui veulent le voir, jpeux envoyer le lien du site de streaming par MP)Après avoir placé trois bombes sur le sol américain, Yusuf, un terroriste islamique, est arrêté par le FBI. L'agent Helen Brody est chargée de l'interroger pour découvrir l’emplacement des explosifs. Devant l’échec de ses tentatives, les fédéraux font appel à l'agent H, spécialiste de la torture. Une guerre des méthodes s'engage entre les deux agents...
Il est infiniment plus rapide d'énoncer une connerie que de la réfuter.
HA HA HA HA HA.corderaide a écrit :J'ai vu unthinkable récemment (il y a deux heures) c'est un putain de film, dur mais intéressant :Après avoir placé trois bombes sur le sol américain, Yusuf, un terroriste islamique, est arrêté par le FBI. L'agent Helen Brody est chargée de l'interroger pour découvrir l’emplacement des explosifs. Devant l’échec de ses tentatives, les fédéraux font appel à l'agent H, spécialiste de la torture. Une guerre des méthodes s'engage entre les deux agents...
Je ne suis pas ton père non plus !
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Pareil.Denis Gaudineau a écrit :JFrancis Ford Coppola : Le Parrain I (1972) & II (1974), grosse claque, je m'attendais à des films un peu téléphonés et connus surtout pour leur casting de ouf mais c'est du grand art !
Je me suis visionné toute la série récemment en ne m'attendant pas à grand-chose, sinon à du grand-guignol un peu (voire pas mal) vieilli... mais je confondais manifestement Coppola et Scorcese...
Le Parrain, cela reste du solide et ça a toujours le pouvoir de te filer une bonne claque.
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le parrain...
Du gilliam>>>>> Un peu trop long (sans longueurs nez en moins, mais j'aime pas en se moment qu'un film dépasse 1h40, mais très bon et visuellement spectaculaire, notemment avec les même délires d'animation qu'il faisait à l'époque du Flying Circus, mais en 3D !
Du gilliam>>>>> Un peu trop long (sans longueurs nez en moins, mais j'aime pas en se moment qu'un film dépasse 1h40, mais très bon et visuellement spectaculaire, notemment avec les même délires d'animation qu'il faisait à l'époque du Flying Circus, mais en 3D !
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Lucia Puenzo : Le médecin de famille (2013), un film sur l'une des haltes de Mengele dans sa très longue cavale en Amérique du Sud, il devient le proche d'une famille germano-argentine dans une grande ville du fin fond de la pampa. Si la photographie et les acteurs sont très bons, le script est faible et la musique (style posthardcore) catastrophique, c'est vraiment dommage.
Donner, c'est donner, repeindre ses volets.
- Denis Gaudineau
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- Sydney Pollack : Les chasseurs de scalp (1968), très bon western comique avec Burt Lancaster, Teddy Savalas, Ossie Davis et Shelley Winter. On se poile tout du long et les acteurs sont brillants !
- Francis Ford Coppola : Le Parrain III (1990), mélancolique et ravagée, belle clôture pour la trilogie !
- Philippe Lioret : Welcome (2009), quelle bouse ! Rien à sauver dans ce film niais et pas crédible pour un sou, même Lindon, qui est pourtant un très bon acteur, n'a pas l'air d'y croire...
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- Philippe Lioret : Welcome (2009), quelle bouse ! Rien à sauver dans ce film niais et pas crédible pour un sou, même Lindon, qui est pourtant un très bon acteur, n'a pas l'air d'y croire...
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