[Lecture] Bouquins à se mettre sous la dent
- Ediauphile
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Tu es bien courageux, 150 pages avant que ça décolle c'est souvent déjà un supplice
Peut importe le flacon pourvu qu'on ait l'ivresse
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Arf! Moi, il m'a bien parfois fallu ces 250 pages pour me rendre compte que je re-lisais un bouquin (que je trouvais toujours bon, cela dit, so I got that going for me... )
En l'occurrence, il s'agissait du Royaume des Devins de Clive Barker.
En l'occurrence, il s'agissait du Royaume des Devins de Clive Barker.
Lequel, si le titre n'était déjà pris, aurait très bien pu s'intituler
"Le Motif dans le tapis"... Clive Barker fait partie de ces écrivains
qui, même quand ils sont médiocres restent grands.
En ce sens et à mon avis, il est de loin supérieur à
King, qu'il faut toujours brider...
"Le Motif dans le tapis"... Clive Barker fait partie de ces écrivains
qui, même quand ils sont médiocres restent grands.
En ce sens et à mon avis, il est de loin supérieur à
King, qu'il faut toujours brider...
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Pioneer U-05-S → Geshelli Erish → Fostex TH-610 avec Lunashops LN008324 XLR4 et bonnettes d'origine
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Ahah, moi qui lis beaucoup de polars ( avec souvent le cliché de l'inspecteur solitaire et ténébreux accro à la bouteille ), je me suis déjà rendu compte que je re-lisais le bouquin au dénouementDarkZenith a écrit :Arf! Moi, il m'a bien parfois fallu ces 250 pages pour me rendre compte que je re-lisais un bouquin
Peut importe le flacon pourvu qu'on ait l'ivresse
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Je ne sais pas si il y a une telle différence. Je veux bien qu'askell soit plus travaillé, même si j'ai du mal à juger, mais de là à ce que ca soit complétement différent, j'en doute quand même. En revanche, pour ce qui est du succès commercial, c'est sur que la balance ca sans concession à Troys and the like.Gédéon Molle a écrit : C'est pareil pour moi, la série des Troys rapportent tellement qu'ils sont produits à la chaîne.
En revanche, le travail sur Askell est techniquement beaucoup plus lourd (et moins rentable), ce qui explique l'abandon de la série.
Une frustration totale.
Quant à la frustration, ca y a pas de doute
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flac / NFB 1.32 + C2 + prodipe pro 5 v2 / NFB 1.32 + C2 + Alpha Dog
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Thierry Jonquet - La bête et la belle
un ptit RALF KOENIG, ca fait pas de mal
Manu Larcenet
# Tome 1 : Le Combat ordinaire, 2003, Dargaud (ISBN 2205054252)
# Tome 2 : Les Quantités négligeables, 2004, Dargaud (ISBN 2205055895)
ça faisait longtemps que je voulais la lire, bonnes ambiances, un peu tristes parfois, le quotidien d'un être humain et de ses angoisses, ce qu'il fait (ou ce qu'il ne fait pas) pour que ça change, le tout dans une ambiance 2002, Le Pen au deuxième tour, son père en train de mourir..
Mais il y a plus d'humour dans les BD NIC OUMOUK de LARCENET que dans 'le combat ordinaire'
# Tome 1 : Le Combat ordinaire, 2003, Dargaud (ISBN 2205054252)
# Tome 2 : Les Quantités négligeables, 2004, Dargaud (ISBN 2205055895)
ça faisait longtemps que je voulais la lire, bonnes ambiances, un peu tristes parfois, le quotidien d'un être humain et de ses angoisses, ce qu'il fait (ou ce qu'il ne fait pas) pour que ça change, le tout dans une ambiance 2002, Le Pen au deuxième tour, son père en train de mourir..
Mais il y a plus d'humour dans les BD NIC OUMOUK de LARCENET que dans 'le combat ordinaire'
Le combat ordinaire, énorme coup de cœur durant mes années où je squattais tous les libraires et autres Club/Agora/whatever pour aller lire les bédés.
À l'époque, j'avais adoré (au point de l'acheter pour le coup) Les Super-héros injustement méconnus de Larcenet.
À l'époque, j'avais adoré (au point de l'acheter pour le coup) Les Super-héros injustement méconnus de Larcenet.
- DarkZunicorn
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J'adore les oeuvres d'inspiration autobiographiques de Larcenet. Le reste, je goûte moins...
Le Combat ordinaire est aussi une de mes références absolues.
J'ai également tendance à offrir à tout le monde ses souvenirs de service militaire (d'autant que j'ai passé le mien exactement dans la même unité de l'armée de l'air!): Presque.
Autrement, je suis fan de sa collaboration avec Jean-Yves Ferri (autre immense humoriste de la BD française, soit dit en passant), Le Retour à la terre, histoire tendre des tribulations d'un banlieusard devenu néo-rural (comme moi aussi! ).
Le Combat ordinaire est aussi une de mes références absolues.
J'ai également tendance à offrir à tout le monde ses souvenirs de service militaire (d'autant que j'ai passé le mien exactement dans la même unité de l'armée de l'air!): Presque.
Autrement, je suis fan de sa collaboration avec Jean-Yves Ferri (autre immense humoriste de la BD française, soit dit en passant), Le Retour à la terre, histoire tendre des tribulations d'un banlieusard devenu néo-rural (comme moi aussi! ).
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- pacclerouge
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Puisque ça parle polar et bd depuis quelques postes, je vais faire la synthèse avec le deuxième roman de Warren Ellis : Gun Machine, qui vient de paraître aux éditions du Masque. Pour ceux qui ne connaissent pas le britannique, le gars fait partie de ces grands maîtres du comics qui ont en leur temps révolutionné leur art. Si vous n'êtes pas allergique au super-slip, tapez allègrement dans The Authority ou Planetary, sinon ruez-vous sur Transmetropolitan (oh bonheur réédité en ce mois de février chez Urban Comics), qui est une "cyberpunkisation" de l'univers de Hunter S. Thompson (Hell's Angels, Las Vegas Parano).
Et je dirais que Gun Machine tient d'ailleurs plus de Transmetropolitan que de ses autres productions. Pas au niveau de l'intrigue, puisqu'il s'agit d'un polar on ne peut plus classique sur fond de tueur en série, rites amérindiens, corruption des élites policières et économiques, mais de l'écriture. Quand Ellis se lâche au niveau des dialogues c'est la totale, sol, plafond, moquette, comme dirait un pestiféré contemporain. L'humour est ravageur, la punchline permanente, la vulgarité jouissive. Mention spéciale aux deux agents de la police scientifique, mais je vous laisse la surprise.
Donc Gun Machine c'est un polar ultra carré, drôle (c'est rare que j'éclate de rire tout seul comme un con), parfait pour passer un bon moment sans se prendre le choux avec la déconfiture psychologique d'un trou du cul qui se morfond dans la banlieue de Malmö. Voilà...
Et je dirais que Gun Machine tient d'ailleurs plus de Transmetropolitan que de ses autres productions. Pas au niveau de l'intrigue, puisqu'il s'agit d'un polar on ne peut plus classique sur fond de tueur en série, rites amérindiens, corruption des élites policières et économiques, mais de l'écriture. Quand Ellis se lâche au niveau des dialogues c'est la totale, sol, plafond, moquette, comme dirait un pestiféré contemporain. L'humour est ravageur, la punchline permanente, la vulgarité jouissive. Mention spéciale aux deux agents de la police scientifique, mais je vous laisse la surprise.
Donc Gun Machine c'est un polar ultra carré, drôle (c'est rare que j'éclate de rire tout seul comme un con), parfait pour passer un bon moment sans se prendre le choux avec la déconfiture psychologique d'un trou du cul qui se morfond dans la banlieue de Malmö. Voilà...
Source Nomade : Fiio X3, Sansa clip +, Ipod Nano (4ème G) 16 Go, Fiio M3
Intras : Heir Audio 8.A Earsonics ES5
Matériel disparu : Earsonics SM3 V2
Matériel parti : Ipod 80 go 5,5 g.
Intras : Heir Audio 8.A Earsonics ES5
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Pareil, ce sont mes albums préférés de Larcenet, je guette leur sortie avec impatience !DarkZenith a écrit : Autrement, je suis fan de sa collaboration avec Jean-Yves Ferri (autre immense humoriste de la BD française, soit dit en passant), Le Retour à la terre, histoire tendre des tribulations d'un banlieusard devenu néo-rural (comme moi aussi! ).
- Denis Gaudineau
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- Tetsuya Chiba & Asao Takamori : Ashita no Joe (vol. 11 à 13) (1972-1973), la fin de ce manga génial, un sommet de la BD mondiale, quelle classe incroyable !
J'ai fini tout de même par poursuivre et terminer ce Central Europe mais ça sent le procédé pas totalement digéré et même si, passé les délires brumeux et ennuyeux, le fond est intéressant (Vlassov, Paulus, Gerstein, Hilde Benjamin, par exemple)Ediauphile a écrit :Tu es bien courageux, 150 pages avant que ça décolle c'est souvent déjà un suppliceDenis Gaudineau a écrit :William T. Vollmann : Central Europe (2005), un roman très long sur plusieurs destins de personnages historiques (dont Chostakovitch et Vlassov), c'est malheureusement écrit dans un style chaotique, allusif et décousu qui enlise le récit plutôt qu'il ne le sert, ce qui fait qu'à part apprendre des faits historiques et des anecdotes (par les notes le plus souvent puisque beaucoup de choses sont réinventées et c'est alors spécifié à la fin), on n'arrive jamais à entrer dans ce pavé (j'ai abandonné au bout de 250 pages, pensant que ç'allait décoller mais peine perdue...)
Dernière modification par Denis Gaudineau le 13 févr. 2014 01:33, modifié 1 fois.
Donner, c'est donner, repeindre ses volets.
- Tutut
- Mon chien s'appelle LossLess
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- Localisation : Toujours jamais là
Bouquin bien documenté sur les liens entre Hollywood et la mafia.
XDuoo X3II (firmware SinuX 1.2SE9) --> Moondrop Starfield - Etymotic ER2XR - GS Audio GD3A - Tin Audio T3
PC (USB) - Topping E50 - SMSL SH-9 --> Sennheiser HD580 - Shure SHR840
PC (USB) - Topping E50 - SMSL SH-9 --> Sennheiser HD580 - Shure SHR840
Jiro Taniguchi & Ustsumi - L'orme du Caucase
Une série de nouvelles touchantes sur les mutations de la société japonaise, pugilat, smalas recomposées, la déchéance à l'œuvre pour ces âmes errantes qui ne connaissent hélas pas la patience (il faudrait qu'elles écoutent du Chris Isaak ).