Bonjour à toutes et à tous, l'équipe de tellement nomade vous souhaite une bonne année 2025
Révisez vos Classiques... ou bien Venez les découvrir
- alan69
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bien souvent dans les cd de classique et même d'opéra il y a un livret avec qui explique l'interprétation et parfois les paroles pour de l'opéra.quand je suis chez moi et que j'écoute du classique j'aime bien lire ce livret en même temps cela occupe et enchante les deux sens: l’ouïe et la vue et ça j’achète lol
pour votre santé mangez au moins cinq DAP et casques par jour^^
- Wayne Shelton
- Tombeau-Blaster
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Une autre proposition à vous soumettre : l'écoute de ces deux contre-ténors d'exception que sont Andreas Scholl, l'allemand et Philippe Jaroussky le français, interprétant le même extrait (Oh combien sublime) de Antonio Vivaldi.
Sauriez-vous les départager ? Lequel à votre préférence ? Personnellement je suis sous le charme de ces deux voix magnifiques.
Sauriez-vous les départager ? Lequel à votre préférence ? Personnellement je suis sous le charme de ces deux voix magnifiques.
Nisi Dominus (Cum dederit delectis suis somnum)
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à 20 ans, j'étais un jeune con... je suis resté très jeune !
- myocastor
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Départager peut-être pas, notamment sur ce morceau ... Mais gros faible pour andréas en ce qui me concerne ... Que ce soit dans ses prises de son, ou lors de ses récitals où j'ai eu la chance de l'entendre ... J'accroche beaucoup moins sur PJ. La technique de chant doit y être pour quelque chose ...
- Wayne Shelton
- Tombeau-Blaster
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Aujourd'hui je vous propose une petite récréation dont le visuel pourrait amener certains d'entre vous à rêver...
L'extrait musical accompagnant la vidéo n'est autre que l'Ouverture de la Symphonie Coriolan Op 62 de L.V. Beethoven... (je pense, sans en être certain toutefois, qu'il s'agit de l'enregistrement dirigé par Jordi Savall)
Laissez-vous emporter...
L'extrait musical accompagnant la vidéo n'est autre que l'Ouverture de la Symphonie Coriolan Op 62 de L.V. Beethoven... (je pense, sans en être certain toutefois, qu'il s'agit de l'enregistrement dirigé par Jordi Savall)
Laissez-vous emporter...
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à 20 ans, j'étais un jeune con... je suis resté très jeune !
Faites un arrêt à 1min10. On y voit un drôle de système que j'ai déjà aperçu sur d'autres vidéos de ce genre et je me suis toujours demandé comment il marchait.
Nomade : DAP : Cowon J3 96gb
Casques : Sony Wf 1000XM5 - akg k430 -
Sédentaire : Dacs : Audio-Gd Master 7 Amanero
Amplis : Eddie Current Balancing Act
Casques : Fostex TH900 - Kennerton Odin
Loisirs : Pioneer VSX 831 - système Focal 706 - Gaming PC - VR - Sim Racing
"pour pouvoir mourir il faut déjà avoir vécu" (Wayne Shelton)
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"pour pouvoir mourir il faut déjà avoir vécu" (Wayne Shelton)
- Wayne Shelton
- Tombeau-Blaster
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Moi je dirais que c'est une machine à remonter le temps... Tu te retrouves début XIXe siècle, au beau milieu d'un orchestre symphonique, Beethoven à tes côtés...
Ou bien alors, la cabine de téléportation que Jeff Goldblum utilise dans La Mouche ?
Ou bien alors, la cabine de téléportation que Jeff Goldblum utilise dans La Mouche ?
à 20 ans, j'étais un jeune con... je suis resté très jeune !
- doumdoum84
- J'ai un casque HiFi de chez Auchan
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Merci WS pour ce magnifique et inépuisable sujet qu'est la "musique classique".
J'ai découvert ou redécouvert de superbes interprétations.
J'aimerais rajouter un classique parmi les classiques:
Un extrait plus que célèbre de l'opéra "Gianni Schicchi" de Giacomo Puccini:
L'air de Lauretta "O Mio Babbino Caro"
Si tu (ou un autres amateur) pouvais rajouter un lien ce serait sympathique.
(Je suis nouveau sur le forum et je ne maîtrise pas encore tout)
Encore merci Wayne.
Et en ce 31 décembre je te souhaite ainsi qu'à tous les membres de TN une très
bonne et heureuse année 2017.
J'ai découvert ou redécouvert de superbes interprétations.
J'aimerais rajouter un classique parmi les classiques:
Un extrait plus que célèbre de l'opéra "Gianni Schicchi" de Giacomo Puccini:
L'air de Lauretta "O Mio Babbino Caro"
Si tu (ou un autres amateur) pouvais rajouter un lien ce serait sympathique.
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Encore merci Wayne.
Et en ce 31 décembre je te souhaite ainsi qu'à tous les membres de TN une très
bonne et heureuse année 2017.
- Wayne Shelton
- Tombeau-Blaster
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- Inscription : 19 mai 2014 16:50
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Myocastor a exaucé ton voeu avec une très belle interprétation. Ce morceau célébrissime a été un, parmi bien d'autres, succès de La Callas, qui bien que très talentueuse n'a pas été, du moins, par la voix, la plus grande des sopranos que la Terre ait portée...doumdoum84 a écrit :Merci WS pour ce magnifique et inépuisable sujet qu'est la "musique classique".
J'ai découvert ou redécouvert de superbes interprétations.
J'aimerais rajouter un classique parmi les classiques:
Un extrait plus que célèbre de l'opéra "Gianni Schicchi" de Giacomo Puccini:
L'air de Lauretta "O Mio Babbino Caro"
Si tu (ou un autres amateur) pouvais rajouter un lien ce serait sympathique.
(Je suis nouveau sur le forum et je ne maîtrise pas encore tout)
Encore merci Wayne.
Et en ce 31 décembre je te souhaite ainsi qu'à tous les membres de TN une très
bonne et heureuse année 2017.
Personnellement la version très épurée et beaucoup plus intimiste, car seulement accompagnée au piano, qu'interprète l'excellente soprano roumaine, Angela Gheorghiu, m'émeut beaucoup plus que toutes les autres. Cette artiste lyrique qui était il y peu encore, d'une grande beauté (décidément : la voix, la plastique...) est probablement celle qui aura le plus mis cette magnifique oeuvre à son répertoire.
Et puis merci pour tes mots, qui me vont droit au coeur.... Passez tous de bonnes fêtes, et d'ores et déjà, bonne et heureuse année à ceux qui ne liront ces lignes que l'année prochaine.
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Afin que tu puisses "poster" toi-même les titres que tu veux nous faire partager, je t'envoie un petit mp pour t'expliquer comment procéder. à 20 ans, j'étais un jeune con... je suis resté très jeune !
- doumdoum84
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Je me lance avec Sergei Rachmaninov et son concerto N°3 pour piano.
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- Wayne Shelton
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Il est des nôooo-ô-trres ! Félicitations, Doumdoum, tu apprends vite
à 20 ans, j'étais un jeune con... je suis resté très jeune !
- Wayne Shelton
- Tombeau-Blaster
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Les Contes d'Hoffmann est un Opéra fantastique en cinq actes (prologue + 3 actes + épilogue), créé par Jacques Offenbach (1819-1880) compositeur violoncelliste. L'oeuvre est présentée pour la première fois à Paris en février 1881.
Celui qui jusque-là avait distrait un Second Empire en quête de plaisirs et d'oubli avec ses opérettes satiriques et décapantes, livre ici une véritable masterpiece qui, bien que non dénuée d'humour, est d'une dimension noire et fatale.
Le livret du librettiste Jules Barbier (1825-1901) est tiré de la pièce homonyme qu'il a écrite 30 ans plus tôt avec Michel Carré, elle-même inspirée de trois histoires de l'écrivain et compositeur romantique allemand Ernst Theodor Amadeus Hoffmann (1776-1822) qui est d'ailleurs intégré à l'oeuvre par les deux auteurs.
Malheureusement, Offenbach meurt des suites d'une maladie chronique au petit matin du 5 octobre 1880, soit, 4 mois avant la première présentation qui aura lieu à l'Opéra-Comique de Paris.
Le compositeur français (enterré au cimetière de Montmartre) ne pensait pas que cette oeuvre, serait d'une part, son Chant du Cygne, et que d'autre part cette sorte de testament en forme de chef-d'oeuvre musical lui apporterait, certes à titre posthume, la reconnaissance officielle après laquelle il avait tant couru, devenant même l'un des opéras français les plus joués au monde.
Mêlant la griserie au fantastique et au macabre, les Contes d'Hoffmann, racontent trois périodes de la vie sentimentale d'un homme en quête de l'absolu et de l'idéal féminin.
Au cours de cette œuvre, le héros, Hoffman narre ses amours malheureuses avec trois femmes. D’abord tombé amoureux de la magnifique Olympia, il se rend vite compte qu’elle n’est pas une jeune fille mais une poupée mécanique, qui certes, chante superbement, mais une poupée mécanique qu’il faut remonter de temps en temps.
Après cette terrible déception avec la poupée Olympia, Hoffman rencontre Antonia. La jeune femme est atteinte de tuberculose et son état empire à chaque fois qu’elle chante. Mal conseillée par un méchant docteur, elle finit par mourir sur une dernière vocalise.
Au 3ème acte, il rencontre Giuletta qui va tenter de s’emparer de l’âme d’Hoffman en échange d’un magnifique bijou.
Voici le plus célèbre extrait de cet opéra :
A la base une barcarolle est une chanson qu’interprètent les gondoliers naviguant sur les canaux de Venise.
Celui qui jusque-là avait distrait un Second Empire en quête de plaisirs et d'oubli avec ses opérettes satiriques et décapantes, livre ici une véritable masterpiece qui, bien que non dénuée d'humour, est d'une dimension noire et fatale.
Le livret du librettiste Jules Barbier (1825-1901) est tiré de la pièce homonyme qu'il a écrite 30 ans plus tôt avec Michel Carré, elle-même inspirée de trois histoires de l'écrivain et compositeur romantique allemand Ernst Theodor Amadeus Hoffmann (1776-1822) qui est d'ailleurs intégré à l'oeuvre par les deux auteurs.
Malheureusement, Offenbach meurt des suites d'une maladie chronique au petit matin du 5 octobre 1880, soit, 4 mois avant la première présentation qui aura lieu à l'Opéra-Comique de Paris.
Le compositeur français (enterré au cimetière de Montmartre) ne pensait pas que cette oeuvre, serait d'une part, son Chant du Cygne, et que d'autre part cette sorte de testament en forme de chef-d'oeuvre musical lui apporterait, certes à titre posthume, la reconnaissance officielle après laquelle il avait tant couru, devenant même l'un des opéras français les plus joués au monde.
Mêlant la griserie au fantastique et au macabre, les Contes d'Hoffmann, racontent trois périodes de la vie sentimentale d'un homme en quête de l'absolu et de l'idéal féminin.
Au cours de cette œuvre, le héros, Hoffman narre ses amours malheureuses avec trois femmes. D’abord tombé amoureux de la magnifique Olympia, il se rend vite compte qu’elle n’est pas une jeune fille mais une poupée mécanique, qui certes, chante superbement, mais une poupée mécanique qu’il faut remonter de temps en temps.
Après cette terrible déception avec la poupée Olympia, Hoffman rencontre Antonia. La jeune femme est atteinte de tuberculose et son état empire à chaque fois qu’elle chante. Mal conseillée par un méchant docteur, elle finit par mourir sur une dernière vocalise.
Au 3ème acte, il rencontre Giuletta qui va tenter de s’emparer de l’âme d’Hoffman en échange d’un magnifique bijou.
Voici le plus célèbre extrait de cet opéra :
"Barcarole" (3ème acte)
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Note : Une barcarolle est une musique, généralement composée sur un rythme ternaire 1, 2, 3 // 1, 2, 3, qui évoque l’eau, le balancement d’une barque ou d’un petit bateau.A la base une barcarolle est une chanson qu’interprètent les gondoliers naviguant sur les canaux de Venise.
à 20 ans, j'étais un jeune con... je suis resté très jeune !
- Franck.T
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- Inscription : 20 juil. 2011 16:00
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Voilà quelques mois que je me régal avec le Stabat Mater par Giovanni Battista Pergolesi de 1736.
Il se compose de douze parties :
_ Stabat Mater dolorosa
_ Cujus animam gementem
_ O quam tristis
_ Quae moerebat et dolebat
_ Quis est homo
_ Vidit suum dulcem natum
_ Eia Mater
_ Fac ut ardeat cor meum
_ Sancta Mater
_ Fac ut portem Christi mortem
_ Inflammatus et accensus
_ Quando corpus morietur
la fiche wikipédia https://fr.wikipedia.org/wiki/Stabat_Ma ... l%C3%A8se)
Il s'agit donc de la dernière œuvre d'un homme mort à 26 ans des suites d'une tuberculose. Il a été écrit pour deux voix (traditionnellement soprano et alto, sans doute des castrats), avec un petit ensemble instrumental comprenant violons I et II, alto et basse continue.
(Qobuz)
Le "Stabat Mater" de Pergolèse comporte certaines des pages les plus connues de la musique baroque. Plein de souffrance et de tristesse, il est ici mis en perspective avec celui de Scarlatti, composé sensiblement à la même époque, quelques années après celui de Vivaldi, et présenté dans une de ses meilleures interprétations, avec notamment la grande contre-alto baroque Sara Mingardo.
Un enregistrement superbe, une oeuvre majeur dans la musique Baroque ! Puissant de finesse et envoûtant, aucun casque ne reste chez moi s'il ne Stabat Mater de Pergolesi ne passe pas dans toute sa splendeur
Il se compose de douze parties :
_ Stabat Mater dolorosa
_ Cujus animam gementem
_ O quam tristis
_ Quae moerebat et dolebat
_ Quis est homo
_ Vidit suum dulcem natum
_ Eia Mater
_ Fac ut ardeat cor meum
_ Sancta Mater
_ Fac ut portem Christi mortem
_ Inflammatus et accensus
_ Quando corpus morietur
la fiche wikipédia https://fr.wikipedia.org/wiki/Stabat_Ma ... l%C3%A8se)
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J'aime beaucoup la direction de Rinaldo Alessandrini http://open.qobuz.com/album/0822189023706, très ''moderne'' et ce qui ne gâche rien superbement enregistré... [video][/video]
(wikipédia)Il s'agit donc de la dernière œuvre d'un homme mort à 26 ans des suites d'une tuberculose. Il a été écrit pour deux voix (traditionnellement soprano et alto, sans doute des castrats), avec un petit ensemble instrumental comprenant violons I et II, alto et basse continue.
(Qobuz)
Le "Stabat Mater" de Pergolèse comporte certaines des pages les plus connues de la musique baroque. Plein de souffrance et de tristesse, il est ici mis en perspective avec celui de Scarlatti, composé sensiblement à la même époque, quelques années après celui de Vivaldi, et présenté dans une de ses meilleures interprétations, avec notamment la grande contre-alto baroque Sara Mingardo.
Un enregistrement superbe, une oeuvre majeur dans la musique Baroque ! Puissant de finesse et envoûtant, aucun casque ne reste chez moi s'il ne Stabat Mater de Pergolesi ne passe pas dans toute sa splendeur
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- Focal Alpha 50 Evo - Dac SMSL D6 -
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