Le Topic des Vieux Succès

[Wayne Shelton]

Aaahhh My Girl et les chanteurs des labels de la Motown de Détroit... J'aime beaucoup la version d'Otis mais je dois avouer que l'interprétation des Temptations a ravi mon coeur pour la vie...

Merci Sausa, pour ce petit clin d'oeil si agréable à l'oreille...

[sausalito]

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[Wayne Shelton]

Petit retour sur un chanteur irlandais très populaire durant la première partie des Seventies... Gilbert O'Sullivan

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[g g]

tiens c'est drôle, je ne saurais dire à quelle autre voix cela me fait penser !
sympa en tout cas, ça le laisse écouter

[Wayne Shelton]

Alors qu'au printemps 1968, les étudiants de la Sorbonne, avant-gardistes dans l'âme et désireux de prendre les choses en mains, décidaient de remplacer le revêtement des chaussées de la capitale en commençant par dépaver les rues du Quartier Latin, parmi le flot musical déversé sur les "grandes ondes" des postes à transistors, émergeaient des titres rivalisant de promesses, de désir, d'amour... Mais peut-être aussi, déjà, des prémices d'une désillusion qui ne ferait qu'amplifier avec le temps.

Une Déesse brune (néerlandaise) aux yeux de cristal prénommée Vénus proposait à qui voulait l'entendre, de lui mettre le feu, tandis qu'un garçon, lui de son côté suppliait sa chérie d'amour de revenir, que promis, il referait plus ses conneries...
Du rythme certes, mais une indigence affligeante au niveau du texte... On ne peut pas tout avoir !

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Heureusement, un jeune groupe britannique, bien rangé et propre sur lui, sort de douces mélodies dans lesquelles, le gentil chanteur Mick promet à sa maman de retourner à l'école, que tout ira bien désormais grâce à un gaz... le Jumpin' Jack Flash... qui le perturbe au point de se prendre pour un pauvre rocksinger égaré dans un Londres roupillant, livré aux bagarreurs de rues, sous la chaleur estivale, et qui va jusqu'à prôner la révolution de palais, voire même, pourquoi pas, se rendre coupable de régicide ? Qui alors, aurait parié que les "Pierres qui roulent" seraient toujours là, cinquante ans plus tard ?

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[Wayne Shelton]

Au mois de janvier 1968 le ministre de la Jeunesse et des Sports venu inaugurer la piscine de la faculté de Nanterre, est pris à partie par un jeune étudiant en sociologie aux cheveux roux. Celui-ci l'interpelle sur des questions de sexualité. Le très gaullien ministre lui rétorque : "Si vous avez des problèmes sexuels, allez vous tremper dans l'eau froide"...

Deux mois plus tard, "Le Mouvement du 22 mars" né à Nanterre sera l'élément déclencheur de la "seconde révolution française". Dans la soirée du vendredi 22 mars, 300 étudiants - dont Daniel Cohn-Bendit, l'étudiant roux surnommé "Dany le rouge" - se réunissent dans l'amphi de la fac pour protester contre l'arrestation de camarades militant contre la guerre au Vietnam.

Puis, l'émulation venant, ils décident d'occuper la tour administrative de l'établissement universitaire installée sur des terrains vagues, (derrière le tout nouveau quartier d'affaires d'alors de la Défense).Sur les murs, on voit apparaître leur premier slogan : "Non à l'Université bourgeoise". C'est ainsi que les cours sont suspendus jusqu'au 1er avril afin d'éviter l'occupation de la faculté prévue pour le 29 mars...

Résolus et ne s'avouant pas vaincus, les étudiants se replient sur la Sorbonne où ils occuperont le grand amphithéâtre .Ce sera la toute première occupation d'université en France...

Le 2 mai, après plusieurs incidents sur le campus, Nanterre est fermée. Le 3 mai, la Sorbonne est évacuée par les forces de l'ordre. De violents incidents éclatent dans la nuit suivante au Quartier Latin qui se soldent au matin par 600 interpellations.

Désormais, "Mai 68" est en route...

La révolution n'est pas qu'étudiante pas plus que spécifiquement française ; elle est en route également pour nos oreilles car chaque jour de cette année 1968, nous apporte son lot de jeunes artistes qui viennent faire florès avec leurs tout nouveaux genres et styles musicaux, enchantant nos oreilles et un peu moins celles de nos parents...

Le phénomène Mr James Brown qui dès 1964-1965 dans le R & B a amorcé les bases de ce qui deviendra le "ton Funky" avec ses titres "Papa's got a brand new bag et "I goot you" (I feel good) pose les premiers jalons de la véritable musique Funk avec "Cold Sweat" sorti en 1967.

" The Goodfather of Soul" ainsi qu'on le surnomme, confirmera ce nouveau genre musical, dès l'année suivante, avec I "can't stand it" ("I can't stand myself" initialement)..

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Outre Manche, les Beatles qui ont fait un tabac l'année précédente avec "Sergent Pepper" sortent un double album mythique surnommé "The White Album" à cause de sa couleur (titre éponyme véritable : "The Beatles") dont le 1er exemplaire (n°série : 0000001) a battu récemment le record de vente aux enchères, avec 703000€, devenant ainsi l'album musical le plus cher de tous les temps.

Entre autres artistes collaborant à ce qui ne s'appelle pas encore un "Opus", on trouvera Eric Clapton à la guitare solo de "While My Guitar Gently Weeps". A noter, en tête de liste de l'album, le célèbre "Back in the USSR" (hélas indisponible sur YT comme de nombreux titres des Beatles, pour raison de droits d'auteur)
Déjà à cette époque, commencent à apparaître les premières "pommes de discordes" entre les membres des Scarabées qui ne faciliteront pas l'enregistrement... Moins de deux ans plus tard les Beatles se sépareront définitivement !

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[Wayne Shelton]

Si l'on doit résumer la carrière du groupe canadien Steppenwolf (qui tire son nom du roman de l'auteur allemand Hermann Hesse -prix Nobel 1946) emmené par son leader John Kay qui a créé la formation en 1967, on peut dire que les 3 plus gros succès du groupe sont un tir groupé sur l'année 1968 avec Magic Carpet Ride, The Pusher et leur gros tube Born to be Wild. Le succès de ces deux derniers ayant été bien aidé en cela, par Denis Hopper et son film Easy Rider, qui bien en phase avec son époque sortira sur les écrans américains à l'été 1969.

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De leur côté, Jack Bruce, le chanteur, Eric Clapton, le guitariste et Ginger Baker le batteur, ne sont pas en reste avec Cream leur groupe de rock psychédélique et le titre Sunshine of your Love qui tout comme la comédie musicale Hair sortie dans la même période augurent parfaitement des leitmotive "amour-fleurs-cheveux-paix" du festival de Woodstock organisé l'année suivante.

Cream restera dans les annales pour avoir été (avec le groupe américain The Grateful Dead) l'un des tout premiers Jam Band mais aussi un pionnier de ce qui deviendra par la suite ce mouvement issu du rock que l'on appelle le "Heavy Metal".

Au risque de me répéter, pour l'avoir déjà cité dans le topic consacré au film Easy Rider, (les musiques de films qui ont fait des tubes) le terme "Heavy Metal" serait apparu suite à la chanson de Steppenwolf, Born to be wild ... Comme quoi, tout s'enchaîne parfois admirablement !

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Et pour ne pas rompre "le charme", prolongeons cette petite balade dans la musique psychédélique avec Arthur Brown et son Crazy World de groupe, qui, comme pour rajouter de l'huile sur le feu de l'excitation ambiante, sort un Fire du tonnerre !

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[g g]

Alors comme ça born to be wild c'est eux !
je ne le savais pas.

[Wayne Shelton]

Affiche placardée par la Préfecture de Paris sur les murs de la capitale durant mai 68...

(ça laisse rêveur, non ?)

Les trois Jacques !


Ces trois là sont réunis lors d'un repas chez Jacques Wolfsohn, directeur artistique du label musical Vogue. Celui-ci propose alors aux deux autres, son jeune assistant, Jacques Dutronc, et Jacques Lanzmann, ce touche-à-tout à la fois romancier, parolier, marcheur (quon appellerait aujourd'hui un trekkeur) de faire une chanson sur le thème de Paris le matin...

Lanzmann et Dutronc commencent à l'écrire le soir même et l'achèvent aux aurores. Les paroles sont inspirées d'une chanson de 1802, "Tableau de Paris à cinq heures du matin" de Marc-Antoine-Madeleine Désaugiers.

Lors de l'enregistrement, ils ne sont pas satisfaits, trouvant les arrangements un peu plats. C'est alors que Roger Bourdin, flûtiste qui travaille dans le studio à côté du leur, improvise un solo de flûte qui donnera la version finale de la chanson qui sortira en avril 1968...

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1968 traduit une inflexion dans les mentalités occidentales après les joyeuses années exubérantes, décomplexées, portées par cette jeunesse du baby-boom qui suivit la Libération et vit apparaître la minijupe, les seins nus, la pilule, la marijuana, le LSD... Mais aussi, les Beatles, les Stones, les hippies, les yéyé et...

. "SLC Salut les Copains"...Une émission de Daniel Filipacchi !

[Daniel Filipacchi (qui deviendra le magnat du groupe de presse Hachette-Filippacchi) et Franck Ténot officiaient alors sur Europe n°1 pour le rendez-vous mythique, quoditien et incontournable de 17h à 19h, de tous les jeunes qui aimaient la musique]

Par ailleurs, la France a conduit tambour battant la décolonisation et est entrée à pieds joints dans la «société de consommation»... Mais derrière la libération des moeurs et de la politique, l'inquiétude affleure...

Ailleurs dans le Monde :

En janvier 1968, Johnny Cash va bientôt avoir 36 ans et essaie de se sortir de l'impasse dans laquelle l'a conduit une addiction aux amphétamines... Lui qui a débuté sa carrière à 22 ans, sort déjà son 25ème disque, From Sea to Shining Sea, un LP de 33mn qu'il a enregistré courant 1967 et dont aucun single ne sera extrait. Cet album est longtemps resté dans l'ombre. Le titre de l'extrait suivant, The Walls of Prison, augure bien de la petite idée qui trotte dans la tête de ce sacré bonhomme..

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Ayant emprunté déjà bien des chemins de traverses, il sort des sentiers battus du système showbizz pour entamer une tournée de concerts qui le conduiront dans des prisons américaines où il enregistrera plusieurs albums devant un public de détenus conquis et enthousiaste. (qui sait se faire entendre dans le disque)

[video]https://www.youtube.com/[/color]watch?v=8uVsMxfN7QQ[/video]

Alors que la guerre fait rage au Vietnam, l'assassinat en avril du Pasteur Martin Luther King (39 ans) figure de proue du combat antiracial, met le feu aux poudres dans les ghettos noirs ; on comptera plusieurs dizaines de morts...

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Deux mois plus tard, c'est au tour de Robert Kennedy, donné grand favori pour l'élection à la Maison Blanche, (le frère de JFK assassiné 5 ans plus tôt à Dallas) d'être abattu par un palestinien qui lui reprochait sa politique pro-israélienne.

Du côté de la popmusic, Jim Morrisson, le leader des Doors commence à sérieusement déconner... Décidément, il règne un vent de folie durant cette année 1968....

Quelque part en Californie, pas loin de San Francisco, un groupe de quatre garçons bien peinards a connu un bon succès avec son tout premier 33 tours sorti l'année précédente. Après les Rolling Stones en 1964 et Dale Hawkings en 1957, ils s'attaquent à un Suzie Q qui restera dans les mémoires comme l'interprétation de référence du titre.

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[g g]

Wayne, j'adore ce genre d'edito contextualisé sur une année unique
TN s'ennuie et ça a été une très belle lecture matinale

[Wayne Shelton]

1968 C'est peut-être avant toute autre chose, un tournant politique dans le Monde, .une prise de conscience des peuples sur ce qui doit changer, à commencer par leurs conditions de vie, les inégalités flagrantes... Des dictatures vont tomber mais au profit d'autres, hélas, le plus souvent.

Certains regardent du côté de la Chine qui fait figure d'avant-garde de la civilisation. La révolution culturelle chinoise, déclenchée en 1966, et son chef Mao Zedong (ou Mao Tsé-toung) suscitent une vague d'idolâtrie dans les rangs de l'extrême-gauche.

D'autres lorgnent Outre-Atlantique où le rêve américain et l'ultra-libéralisme sont toujours omniprésents, alors que les campus US s'agitent et dénoncent activement l'escalade militaire au Vietnam où les désertions se multiplient...

Alors que le Painting Black des Stones sorti deux ans plus tôt est toujours autant diffusé sur les ondes du monde entier, Jean-Luc Godard filme l'enregistrement de Sympathy for the Devil qui ne sortira qu'en décembre...

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Simon & Garfunkel, qui se sont rencontrés en 1953, ont connu leur premier succès en 1957 avec une chanson intitulée Hey Schoolgirl . Me croirez-vous si je vous dis qu'alors, leur premier nom de scène fut : Tom & Jerry ! Incroyable, non ?

Le duo a connu diverses fortunes : s'est séparé puis reformé en 63 puis séparé à nouveau en 64. Simon poursuivant une carrière solo en Angleterre, ils se retrouvent à nouveau pour cette fois signer un tube international.

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De son côté, Archie Bell & The Drells avec "Tightten Up" un titre enregistré l'année précédente, se taille un fort joli succès. Entre l'enregistrement et la sortie du disque, Archie s'est engagé dans l'armée et est parti au Vietnam où il prendra une balle dans la cuisse. C'est donc de l'hôpital qu'il apprendra que son tube cartonne dans les charts ! (1 million d'exemplaires vendus alors). La danse inventée pour la circonstance deviendra célèbre elle aussi,

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1968 C'est aussi dans une continuité chronologique, la naissance de ce qui deviendra plus tard sur le plan politique un mouvement d'ampleur internationale : l'écologie ! En effet, il y a tout juste un an (18 mars 1967) le Torrey Canyon, pétrolier battant pavillon libérien, s'est échoué dans la Manche, provoquant, si l'on excepte les faits de guerre de 39-45, la première grande Marée Noire qui polluera le nord du littoral breton ainsi qu'une petite partie des rivages britanniques.

Bien des espèces proches du milieu marin en feront les frais, comme en témoignent les clichés ; fort heureusement, nombreux sont ceux qui se porteront volontaires, n'hésitant pas à se donner corps et âmes pour démazouter un nombre non négligeable de ces pauvres créatures ainsi fragilisées...

En France, le prodigieux effort de redressement économique de l'après-guerre touche à sa fin. Le chômage ne concerne guère que 2% de la population active mais il n'en suscite pas moins une critique virulente du système capitaliste dans la gauche marxiste et dans la jeunesse étudiante.Celle-ci se montre à l'écoute de penseurs radicaux comme Michel Foucault, Jean-Paul Sartre, Louis Althusser, Noam Chomski et Herbert Marcuse.

Le paradoxe de mai 68, c'est que le parti communiste français qui prônait jusque là un changement radical dans la politique et la conduite du pays, a été pris de vitesse par les étudiants et celui-ci au lieu de se joindre au mouvement, le toise de toute sa hauteur, qualifiant même les manifestants (les plus extrêmes) de "gauchistes" ! Le syndicat CGT (affidé au PCF) se raccrochera aux branches tant bien que mal, lorsque la masse ouvrière rejoindra le mouvement estudiantin.

A Paris, de Gaulle, Président de la République, après avoir semblé défaillir, reprend les choses en mains : il annonce à la télévision, la dissolution de l'Assemblée Nationale.

Aussitôt, le 31 mai, un million de ses partisans descendent en masse les Champs-Élysées pour une "contre-manifestation". Le PCF ne bougera toujours pas. La fête est finie. On ne déplore que la mort accidentelle d'un jeune manifestant tombé dans la Seine.

Peu de chanteurs ou d'artistes en général, dans la période proche des événements, se sont montrés solidaires du mouvement. Renaud, Coluche ont investi la Sorbonne, mais les Léo Ferré, Jean Ferrat, Brassens, Montand, et d'autres encore sont restés bien en retrait durant tout ce temps et ne se sont exprimés et réveillés "artistiquement" que sur le tard, lorsque tout fut rentré dans l'ordre... Léo Ferré, maladroit ira jusqu'à dire : "moi, ça fait vingt ans que je la fais la révolution "....

Un toulousain vivant à Montmartre et qui n'avait pas pour réputation d'être un chanteur engagé a, lui seul ou presque, hormis Renaud, écrit sur le sujet au plus proche des événements.

Claude Nougaro sortira "Paris mai" dès octobre 1968.

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[bjh59]

Un régal matinal .... cette lecture.
On se lève et .... on fonce sur notre page historico-musicale !!
Merci tout simplement

[aeux]

Merci Wayne pour cette page d'histoire en musique.

[jxh]

Ni Coluche ni Renaud n'était à ce moment là des artistes influents ; Renaud avait 16 ans et même si il a participé à l'occupation de la Sorbonne c'était encore un Lycéen.

Ni l'un ni l'autre ne pouvait à ce moment là revendiquer un statut ou une aura d'artiste engagé aux cotés des étudiants.

Sinon évidemment j'adore ces chroniques musicales contextualisées

[g g]

Merci Wayne pour cette page d'histoire en musique.

+1
ça me rappelle certains sujets du bac il y'a 25 ans : du style l'année 1968 en France et dans le monde.. Exercice qu'on oserait même plus proposer aujourd'hui.