Du coup ça va poser problème pour mon orientation, sachant que je ne sais pas quel métier je souhaite faire... Et le fait d'enchaîner les petits boulots, apparemment, c'est pas terrible... Peut-être est-ce mon destin, qui sait.

Ça pourrait arriver assez viteKarrthus a écrit :J'attends que le destin m'amène un magasin de hi-fi à côté de chez moi. :x
Karrthus a écrit :Bon et bien je dois l'admettre, la fac n'est pas faite pour moi. Je ne me sens pas à ma place, me sens dévoré par les profs, dont l'un d'eux avait pris un malin plaisir à dénigrer un élève qui s'était mépris. Bref ça refroidit. Je me suis donné deux semaines, mais là c'est inconcevable d'aller plus loin, je ne parviens pas à m'adapter.
Suis-je le seul ici à être totalement dégoûté par les études, juste comme ça ?
Ce qui, en soi, ne change pas grand chose.takumi059 a écrit :La Fac c'est démerde toi, moi je donne un cours magistral après tu en fais ce que tu veux. Les bts/dut c'est à l'échelle de 30 personnes max, donc l'intervenant peut se permettre de s'occuper de chacun
+1g g a écrit :Ce qui, en soi, ne change pas grand chose.takumi059 a écrit :La Fac c'est démerde toi, moi je donne un cours magistral après tu en fais ce que tu veux. Les bts/dut c'est à l'échelle de 30 personnes max, donc l'intervenant peut se permettre de s'occuper de chacun
Rien de neuf vous savez les jeunes :vieux:
La fac, ça a toujours été comme ça. Un chaudron dans lequel on se retrouve ou non ; il y'a 30 ans déjà 2 étudiants sur 3 arrêtaient avant d'y avoir obtenu un premier diplôme. Le vrai problème de tout à chacun est de trouver ce que l'on a vraiment envie de faire et je suis entièrement d'accord avec Chemichti. Ça fait 22 ans que je suis prof et je peux vous garantir que ce ne sont pas les plus mauvais élèves qui échouent comment les meilleurs qui réussissent, je l'ai tellement constaté ! Ceux qui ne s'en sortent pas sont souvent ceux qui ne savent pas vers quel horizon professionnel se tourner par goût. Là c'est complexe, également pour leurs parents : la réussite vient toujours (ou quasiment toujours) de l'envie.