Grrrr WOOF! (vos coups de gueule!)

[oyo]

Et c'est pour çà qu'elle présente le 20H de TF1 maintenant....

[Sam]

Je ne vois pas le problème, la politique se fait sur des retours d’ascenseurs.

[bashyoumi]

Je ne vois pas le problème, la politique se fait sur des retours d’ascenseurs.

[cpt_caverne]

Ou dans les ascenseurs ..

Sinon mon coup de gueule... Censure..

http://www.pcinpact.com/news/69360-edit ... nseurs.htm

[the wizard of oz]

[...] mon coup de gueule... Censure..

http://www.pcinpact.com/news/69360-edit ... nseurs.htm

Ah 'tin ! Ces fichus puritains fascites rampants ! Et pas facile de boycotter en plus : ils nous ont rendu dépendant de leurs services.

[Poka]

J'ai regardé la fin des Victoires de la Musique....même Izia avait l'air de se faire chxxxx
Du coup, je me suis endormi dans le canapé, comme un p'tit vieux

[Wardormeur]

Je finis en avance... et metro en rade x_x
Lyon quoi

[apow]

8h-18h BTS
18h-22h au taff

Et les week ends réviser pour le BTS, préparer les concours, trouver une entreprise pour l'année prochaine.

Vivement le mois de mai !!

[cpt_caverne]

Sans commentaires..

http://www.pcinpact.com/news/69479-sped ... dappel.htm

[DarkZunicorn]

Ben, si, captain, moi, j'aimerais bien un commentaire, justement.
Il me semble (mais je puis me tromper) que cette nouvelle ne concerne que les interprètes de chansons et non les créateurs de chansons, les compositeurs. Auquel cas, l'arrêt de la cour d'appel ne me paraît pas si injustifiable que ton silence (si je l'ai bien compris) le laisse entendre.
Je cite le texte de l'article:

Les artistes interprètes ne perçoivent en fait qu’un cachet lors de l’enregistrement, seule et unique rétribution de leur participation artistique. « Concrètement, un guitariste, un batteur, un bassiste, aussi créatif soit-il, recevra une centaine d’euros pour solde de tout compte, et cela même si l’enregistrement remporte un vrai succès et génère d’importants revenus sur internet. »

J'ai l'impression que ce qui choque la SPEDIDAM, c'est l'ampleur de la disproportion entre le cachet de l'interprète et les bénéfices tirés de la revente en ligne des créations auxquelles il a participé. Je ne vois pas, pour le coup, comment elle espérait obtenir gain de cause auprès de la cour d'appel, celle-ci ne se prononçant a priori que sur des questions de procédures et de droit, donc de principes. Car cette disparité, quoiqu'en de moindres proportions peut-être, a toujours existé dans l'industrie du disque (ainsi que dans bien d'autres secteurs de la production des biens culturels).
Je suis beaucoup plus choqué, pour ma part, et cela depuis longtemps, par le fait qu'un compositeur ne touche, à tout casser, que 10 % du chiffre des ventes de ses créations par la maison de disque qui les édite.

[Tutut]

J'ai l'impression que ce qui choque la SPEDIDAM, c'est l'ampleur de la disproportion entre le cachet de l'interprète et les bénéfices tirés de la revente en ligne des créations auxquelles il a participé. Je ne vois pas, pour le coup, comment elle espérait obtenir gain de cause auprès de la cour d'appel, celle-ci ne se prononçant a priori que sur des questions de procédures et de droit, donc de principes. Car cette disparité, quoiqu'en de moindres proportions peut-être, a toujours existé dans l'industrie du disque (ainsi que dans bien d'autres secteurs de la production des biens culturels).

Les acteurs de doublage avaient fait grêve dans les années 90 pour plusieurs revendications dont la rémunération lors de rediffusions d'oeuvres doublées. Ils ont eu gain de cause, mais je crois que ça ne concernait pas toutes les productions.

[DarkZunicorn]

Oui, Tutut, tu as raison de le rappeler: en dehors de la justice, il y a le rapport de force (qu'historiquement, d'ailleurs, la justice ne fait qu'entériner, n'en déplaise aux "romantiques" de la politique).
Et au-dessus de la justice, il y a la morale dont souvent la force est seule à même d'imposer les principes.
Enfin, tout ça pour dire que je suis d'accord avec la démarche des interprètes et de leurs représentants. Simplement, j'aimerais parfois qu'on ait moins tendance à mettre la charrue devant les boeufs et qu'on commence d'abord à défendre les droits des créateurs, complètement méprisés par l'industrie des biens culturels.
Le problème, en France (et je parle en connaissance de cause), est qu'il n'existe pas, comme aux Etats-Unis, de syndicats forts et unis de créateurs et/ou d'interprètes. Ces derniers, dans notre beau pays, sont seuls face à leurs éditeurs et diffuseurs qui, naturellement, en profitent pour s'engraisser sur leur dos. Et c'est là un ordre de choses qui est profondément ancré dans le milieu de la littérature, de la musique ou du cinéma.
Regarde seulement la gêne, pour ne pas dire le petit scandale, qu'a provoqué Jonathan Littell, en 2006, en imposant à Gallimard de négocier les droits de ses Bienveillantes avec un agent (ce qui lui a du reste permis de remporter le jackpot à l'international, puisque cet agent avait eu la bonne idée de séparer droits de traduction et droits de publication en France, ne laissant que ces derniers à l'éditeur français qui a tiré la gueule... enfin, pas trop, puisque le bouquin de Littell a remporté le Goncourt et s'est vendu, hors collection de poche, à pas moins de 700000 ex!).

[Ludmila]

Moebius est mort

[Tutut]

Je l'avais découvert avec Blueberry.
Avant lui, la dernière disparition qui m'avait marqué dans la BD, était celle de Will Eisner.

[jxh]

Je l'avais découvert avec Blueberry.
Avant lui, la dernière disparition qui m'avait marqué dans la BD, était celle de Will Eisner.

Meeeeeeeeeeerrrrrde qu'elle saloperie