Aujourd'hui centenaire de la naissance de Pierre Boulez, mais cet enregistrement m' a toujours hanté, je ne sais si c'est pour le choc à a première audition du prélude, à la technique d'enregistrement dans le Fiestpielhaus de Bayreuth, à l'orchestre , aux images de Pierre Boulez, de Patrice Chéreau, celles de Peter Hoffmann (pas dans Das Rheingold):
Oeuvres de coeur et de tête : mes interprétations de référence
Merci @DaveStarWalker pour cette référence chez Reference Recordings.
Aujourd'hui centenaire de la naissance de Pierre Boulez, mais cet enregistrement m' a toujours hanté, je ne sais si c'est pour le choc à a première audition du prélude, à la technique d'enregistrement dans le Fiestpielhaus de Bayreuth, à l'orchestre , aux images de Pierre Boulez, de Patrice Chéreau, celles de Peter Hoffmann (pas dans Das Rheingold):

Aujourd'hui centenaire de la naissance de Pierre Boulez, mais cet enregistrement m' a toujours hanté, je ne sais si c'est pour le choc à a première audition du prélude, à la technique d'enregistrement dans le Fiestpielhaus de Bayreuth, à l'orchestre , aux images de Pierre Boulez, de Patrice Chéreau, celles de Peter Hoffmann (pas dans Das Rheingold):
CD EAC WAV µSD - Astell&Kern Kann Cube - Grado SR325x
- DaveStarWalker
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Alors là, territoire inconnu pour moi, je note volontiersba81440 a écrit : ↑26 mars 2025 09:36 Merci @DaveStarWalker pour cette référence chez Reference Recordings.
Aujourd'hui centenaire de la naissance de Pierre Boulez, mais cet enregistrement m' a toujours hanté, je ne sais si c'est pour le choc à a première audition du prélude, à la technique d'enregistrement dans le Fiestpielhaus de Bayreuth, à l'orchestre , aux images de Pierre Boulez, de Patrice Chéreau, celles de Peter Hoffmann (pas dans Das Rheingold):

Sinon, quelque chose de totalement différent, et un disque qui est parmi je dirais, mon top 3, à la fois pour les œuvres présentées, la musique, et la qualité artistique et technique absolument éblouissante :
https://www.doulcememoire.com/en/album/ ... -carnaval/

Lorenzo Il Magnifico – chants de carnaval
Venise.
Amateurs de cromornes et autres saqueboutes (on voit le tableau


La toute première plage est juste anthologique...
puis tout le disque qui suit est fait du même bois précieux.

Du reste l'ensemble Doulce Mémoire est pour moi une référence incontournable pour ce type de musique.

Un autre grand hit de l'époque (mélodie très, très, très connue... pour celles et ceux qui connaissent

Génial

- DaveStarWalker
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Bon, on va aller gentiment dans une contrée mystérieuse et pour beaucoup encore inexplorée (compte tenu de sa complexité mais surtout de son excentricité : des ressources et du dévouement total qu'elle implique), celle des œuvres pour piano de Kaikhosru Shapurji Sorabji.
Sorabji est un mystère, une énigme, et son œuvre fait partie des œuvres les plus singulières et personnelles que la musique savante ait connu.
On commence doucement avec deux œuvres, qui donnent un goût assez fidèle du continent harmonique qui fut le langage complètement unique de Sorabji, tout en restant accessible (notamment pour la durée car rien n'est abscons, bien au contraire) :
Et l'on va maintenant vers ce qui pour moi est l'enregistrement de référence de sa première sonate :
Busoni (à qui le compositeur, alors âgé de 27 ans avait joué l'oeuvre) a commenté que la pièce ressemblait à « une forêt tropicale ». On ne peut que être d'accord devant tant de luxuriance, de mystère, d'effluves puissantes, de couleurs, mais aussi de dangers (pianistiques
)...
Bref une première introduction au compositeur de l'impossible, qui pouvait pousser la durée d'une seule oeuvre pour piano solo jusqu'à presque 9h non stop !
Mais ça, c'est pour la prochaine fois, si vous le voulez bien

Sorabji est un mystère, une énigme, et son œuvre fait partie des œuvres les plus singulières et personnelles que la musique savante ait connu.
On commence doucement avec deux œuvres, qui donnent un goût assez fidèle du continent harmonique qui fut le langage complètement unique de Sorabji, tout en restant accessible (notamment pour la durée car rien n'est abscons, bien au contraire) :
Et l'on va maintenant vers ce qui pour moi est l'enregistrement de référence de sa première sonate :
Busoni (à qui le compositeur, alors âgé de 27 ans avait joué l'oeuvre) a commenté que la pièce ressemblait à « une forêt tropicale ». On ne peut que être d'accord devant tant de luxuriance, de mystère, d'effluves puissantes, de couleurs, mais aussi de dangers (pianistiques

Bref une première introduction au compositeur de l'impossible, qui pouvait pousser la durée d'une seule oeuvre pour piano solo jusqu'à presque 9h non stop !

Mais ça, c'est pour la prochaine fois, si vous le voulez bien
